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2050, climat peut-on éviter le pire ? : W9 et Stéphanie Renouvin face à un scénario catastrophe

Andy Andrian
Publié le 18/12/2019 à 19:21 Mis à jour le 27/05/2022 à 00:28

Après État de choc, Véto de choc ou encore Au cœur de l’étrange, l’animatrice Stéphanie Renouvin s’attarde sur la question du réchauffement climatique avec le magazine inédit, 2050 : climat, peut-on encore éviter le pire ? , sur W9 ce mercredi 18 décembre à 21h05. Dans ce programme mêlant faits d’actualités et fiction d’anticipation, la présentatrice dresse un constat des dérèglements tout en essayant de proposer des solutions avec un débat avec plusieurs spécialistes en fin d’émission.

2050 : climat, peut-on encore éviter le pire ? a été imaginé par la société C. Productions, appartenant au groupe M6 et proposant Capital, Zone Interdite ou encore Enquête d’action. Cette nouvelle marque traite de la question préoccupante du réchauffement climatique. Mais si les événements actuels sont abordés avec des précisions scientifiques et statistiques, le magazine plonge également les téléspectateurs dans un futur proche, où le quotidien serait tout à fait différent de celui du début du XXIe siècle…

« Nous nous sommes appuyés sur les prévisions les plus alarmistes »

Pour 2050 : climat, peut-on encore éviter le pire ?, le programme a pris pour point d’origine le concept de la collapsologie, comme l’a expliqué Jean-Marie Goix, producteur exécutif de C. Productions. Ce domaine désigne les études en lien avec l’effondrement de la civilisation industrielle et des choses pouvant lui succéder. « Nous nous sommes appuyés sur les prévisions les plus alarmistes des scientifiques du GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) » affirme l’intéressé. L’émission a choisi de traiter de l’année 2050 afin de pouvoir montrer au public « les conséquences des dérèglements actuels couplées à une fiction d’anticipation ».

Selon Jean-Marie Goix, 2050 : Alerte Climat va notamment s’attarder sur la possible « exposition de l’humanité aux moustiques tigres », « la fonte des glaces » ou encore « le probable manque d’eau » menant alors à une distribution régulée de la part des mairies.

« 3 à 4 soirées pour 2050 : Climat »

Pour Stéphanie Renouvin, la force de 2050 : climat, peut-on encore éviter le pire ? réside dans sa capacité à « montrer concrètement les faits sans se contenter d’alarmer son audience ». De plus, l’émission garde un « aspect pédagogique » en évitant ainsi de tomber dans des explications « rébarbatives ».

Enfin, Jérôme Fouqueray, directeur général de W9, qualifie 2050 : climat comme une « nouvelle façon » d’aborder le thème « récurrent » du réchauffement climatique. « Nous n’avons pas pensé à ce concept comme un numéro unique » explique-t-il, « nous aimerions étendre ce magazine sur trois ou quatre soirées ».