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Agnès Soral (Famille d’accueil sur France 3) : « J’adorerais que Suzy soit récurrente, mais je n’ai pas l’impression que ce sera le cas »

Guillaume Denis
Par
Rédacteur spécialisé TV & Séries
Publié le 06/01/2015 à 20:21 Mis à jour le 28/01/2015 à 11:06

Ce mardi 6 janvier, France 3 donne le coup d’envoi de la treizième saison de Famille d’accueil en prime time avec les deux premiers épisodes. A cette occasion, Agnès Soral et Michel Jonasz rendent visite à Virginie Lemoine.

Dès 20h50, Marion reçoit son amie d’enfance Suzy (Agnès Soral), dont elle n’avait plus de nouvelles depuis longtemps. L’assistante familiale renoue alors avec un passé révolu, celui d’une jeunesse rebelle. Autant dire que l’arrivée de Suzy ne va pas réjouir tout le monde…

Dans les colonnes de La Provence, Agnès Soral est revenue sur ce rôle. «  J’adorerais que ce personnage soit récurrent, mais je n’ai pas l’impression que ce sera le cas. Je pense que ma présence servait à donner un passé au personnage de Virginie. Pour rappeler que les adultes sont des anciens enfants et montrer que, avant d’être une parfaite maman d’accueil, elle avait été aussi adolescente et encline à faire des bêtises… Il semble que je ne sois pas beaucoup appelée pour des suites » a-t-elle indiqué.

La comédienne semble globalement assez déçue de ne pas trouver de rôle récurrent sur le petit écran. « J’ai aussi interprété la femme de Jacques Spieser dans Commissaire Magellan, la série de France 3, mais depuis on ne m’a pas fait revenir non plus…  » a-t-elle indiqué.

Ce soir, dans le premier épisode de la saison, « Fan », une jeune fille de 15 ans est placée chez les Ferrière après un comportement obsessionnel vis-à-vis d’une star de télévision, Jérémy Lemaître. Celle-ci s’invente une relation amoureuse avec son idole, au grand dam de Marion. Dans le second épisode, le cas de Thomas, 9 ans, et son père pianiste de 70 ans, verra la participation de Michel Jonasz.

France 3 se félicite ainsi de traiter des cas proches de la société. « Toujours avec le souci de se renouveler et d’être au plus proche de nos préoccupations, la série explore, à travers l’accueil d’enfants en souffrance ou en détresse, des sujets éclectiques et symptomatiques de notre époque : cette semaine, l’addiction des jeunes aux séries, et la confusion entre fiction et réel qu’elle peut induire ; la maladie d’Alzheimer, la peur qu’elle engendre, et ses conséquences pour les familles »