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Harry Roselmack en immersion

DIFFUSION

Mardi 24 novembre 2009 à 23h15 sur TF1
En cours de production

PRODUCTION

TF1 Production avec BBC

PRESENTATION

Harry Roselmack

SYNOPSIS

Afin d’adopter un autre regard sur des enjeux de société, en plongeant le téléspectateur dans des univers très particuliers, comme les Prisons, hôpitaux psychiatriques ou encore des lycées, Harry Roselmack s’immerge dans le quotidien de ces lieux et des gens qui y vivent afin d’en livrer « une écriture nouvelle ».

A travers la confiance et la discussion qu’il instaure avec tous ces acteurs du terrain, le journaliste mène l’enquête pour apporter « un éclairage neuf, sans jugement mais sans concession ».

ANECDOTES

 Harry Roselmack en immersion est la version française du magazine Louis Théroux, diffusé sur BBC 2 outre-Manche. La chaîne TMC (groupe TF1) propose à ses téléspectateurs cette version originale depuis le 7 avril 2010 en troisième partie de soirée.

 Pour la première, intitulée Harry Roselmack derrière les murs de la cité, le journaliste a choisi Villiers-le-Bel, dans le Val-d’Oise, pour passer un mois au coeur d’un quartier. L’intéressé est ainsi parti à la rencontre des jeunes, des commerçants et des policiers pour savoir si les choses ont changé après les émeutes qui ont secoué la ville en 2007.

 Ce soir-là, le magazine a retenu l’attention de 1.8 million de téléspectateurs en moyenne, soit 27.7% du public, plaçant TF1 en tête des audiences de deuxième partie de soirée. Le programme a réalisé de belles performances auprès du public féminin avec 40.7% de part de marché sur les fameuses ménagères de moins de cinquante ans.

 Pour son deuxième numéro, diffusé mardi 13 avril à 23h20 sur TF1, Harry Roselmack est allé à la rencontre des fondamentalistes musulmans. Puis, le 11 mai, un troisième numéro a été proposé, consacré cette fois aux « sans domicile fixe ».

 Au fil des diffusions, le magazine a accusé une érosion de son audience. En juin 2012, En immersion n’a séduit que 700 000 fidèles. Interrogé par Le Parisien, Harry Roselmack se voulait alors rassurant : « On ne laisse pas tomber. C’est compliqué de montrer la réalité aux téléspectateurs à 23h30. L’an prochain, nous allons essayer de les sortir de leur quotidien< /i>. »