L’Amour est dans le pré : Pour Pascal, Virginie était la femme de sa vie

Alors que le premier épisode de l’Amour est dans le pré, cru 2010, était proposé sur les écrans de l’Hexagone lundi dernier, certains candidats se détachaient déjà du lot. Des personnalités hautes en couleur, à l’image de Pascal, céréalier dans la Marne. Télé 7 Jours est parti à la rencontre de ce « gros nounours, timide, renfermé, anxieux et pas causeur », comme il aime se définir.

Du haut de ses 38 ans, Pascal, brut de décoffrage, annonce la raison de sa participation à l’émission. « Dans mon coin, j’ai connu des échecs amoureux cuisants. J’espère trouver l’âme sœur en m’adressant plus loin », déclare-t-il avant de mettre ses précédentes ruptures sur le compte d’un métier trop prenant : « Les rares filles qui restaient avec moi étaient des filles de paysans. Mais dès qu’elles trouvaient un boulot dans la fonction publique, avec cinq semaines de congés par an à prendre quand on veut, je ne pouvais pas rivaliser... » Très terre-à-terre dans son analyse, l’agriculteur avoue cependant, que sa personnalité a peut-être également pesé dans la balance : « Je suis maladroit, franco de port. »

Collectionneur de timbres et fan de hard rock, Pascal est à la recherche d’une femme « compatible » à sa personnalité, mais également, « assez grande, à forte poitrine (...) ouverte et bonne cuisinière ». Il reste à savoir si la candidate Lucie, venu vivre chez lui remplira au moins une partie de ce listing.

Or, le pari ne s’annonce pas gagné d’avance pour cette diplômée en horticulture. En effet, celui-ci avait également convié Virginie chez lui, mais la candidate aura finalement décliné l’offre. « Si ça n’avait tenu qu’à moi, je n’aurais invité qu’elle ! Quand je l’ai vue, je me suis dit : « C’est la femme de ma vie » », regrette Pascal, toujours pas au fait des raisons ayant poussé Virginie à ne pas venir : « On ne m’a donné aucune explication. J’ai pris ça comme un coup de poignard dans le dos ! »

Rien n’est totalement perdu pour Lucie pour autant : « Elle a un caractère complémentaire au mien ». Il reste à voir, si l’amour aura ses propres raisons... Mais attention ! Aucune effusion, ni épanchement, à prévoir du côté de Pascal : « Devant les caméras, je me sens paralysé ! »