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Desperate Housewives : Eva Longoria dresse son bilan tout en émotion

Tony Cotte
Publié le 02/02/2012 à 12:57 Mis à jour le 20/04/2012 à 12:25

À quelques mois de l’ultime épisode de Desperate Housewives, Télé Câble Sat a rencontré Eva Longoria à Hollywood. « Je sais ce que je vais faire [lors de la dernière journée de tournage] : pleurer !  », lâche-t-elle de but en blanc.

Après toutes ces années, la plus jeune des héroïnes de la série dresse la liste de tout ce qui va lui manquer : « L’équipe et pas seulement mes partenaires, mais aussi les techniciens qui m’ont vue grandir. Nous avons eu les mêmes caméramen, techniciens, assistants, cuisiniers, pendant huit ans, cela crée des liens. Nous avons vu des mariages, des naissances, connu des maladies ou des divorces, comme le mien. Mais nous sommes toujours restés solidaires ».

En revanche, l’actrice avoue qu’elle ne pourra sans doute pas garder de souvenir de la série : « Les dirigeants de la chaîne ABC ont mis un cadenas sur mon placard en me disant que ma garde-robe était propriété des studios et que je n’avais pas le droit de voler quoi que ce soit  ».

Sur le chemin parcouru depuis ses débuts dans Desperate Housewives, Eva Longoria dit être une des filles qui a le plus changé. « D’abord parce que j’étais la plus jeune des quatre et celle qui avait le moins d’expérience. J’avais 28 ans et aucune idée du succès avant Desperate Housewives. (...) Je me suis retrouvée en l’espace de quelques mois avec du succès, de l’argent, du stress et des propositions de gros contrats. J’ai dû vite apprendre à gérer ma vie et ma carrière », explique-t-elle.

Une vie privée très médiatisée entre une relation, un mariage, puis un divorce avec Tony Parker. Sur le sujet, l’actrice dit cependant retenir « beaucoup de bons moments ». Et de rajouter : « Felicity m’a expliqué que 60% des premiers mariages en Amérique se finissent en divorce, puis 80% des seconds mariages. Mais il paraît que le taux de réussite est nettement meilleur pour le troisième, alors je suis optimiste (rires) ».