C’est encore mieux l’après-midi

DIFFUSION

Lundi 9 septembre 1985 à 16h05 sur Antenne 2
Arrêtée le vendredi 19 juin 1987

PRODUCTION

A2 / Dominique Cantien

PRESENTATION

Christophe Dechavanne

SYNOPSIS

Du lundi au vendredi, Christophe Dechavanne propose un cocktail de bonne humeur, entre invités, variétés, et chroniques. Avec Ghislaine Ottenheimer, l’animateur reçoit six invités tous les jours pour parler spectacle, cinéma, mode et art de vivre.

Parmi les rubriques récurrentes, le « face à face » oppose la journaliste à son invité. Dans l’ « autoportrait », l’ordinateur pose des questions directement aux personnalités. En fin d’émission, le « play mec » est un jeu où les téléspectateurs doivent choisir l’homme qui doit se déshabiller.

De nombreuses démonstrations ont lieu en direct sur le plateau du studio 102, devant les 600 personnes qui figurent dans le public. Défilé de mode, gymnastique (Alain le Grand) et recettes de cuisine (avec Guy Savoye) figurent au sommaire.

C’est encore mieux l’après-midi se déroule dans un décor de salon, avec notamment un bar auquel les invités sont reçus par Christophe Dechavanne. Des hôtesses, habillées style années 60 sont également présentes.

ANECDOTES

– C’est encore mieux l’après-midi est la première émission quotidienne et en direct présentée par Christophe Dechavanne. Suivront Panique sur le 16 et Coucou, c’est nous entre autres succès.

– Dominique Cantien a trouvé le titre de l’émission à la sortie de son rendez-vous avec Pierre Wiehn, alors directeur des programmes d’Antenne 2. Elle pensait à un grand rendez-vous pour le samedi soir, le responsable lui a finalement demandé de réfléchir à une émission de fin d’après-midi. A cette époque, elle produisait Patrick Poivre d’Arvor sur Canal +, avec Tous en scène.

– Au sujet de l’émission et de sa productrice, Christophe Dechavanne confiait dans les colonnes de Télé 7 jours : « J’ai été à la fois flatté, étonné et angoissé. Serais-je à la hauteur ? Mais c’est une fille qui a une telle forme qu’elle m’a vite rassuré ».

– Le « play mec » est un clin d’oeil au Cocogirl de Stéphane Collaro. La rubrique doit son nom à Franklin Didi.