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C’est que de la télé : Gilles Verdez offre un sursis d’audience à Valérie Bénaïm

Joshua Daguenet
Par
Rédacteur TV & Séries
Publié le 05/09/2019 à 12:11

Le mardi 3 septembre, Valérie Bénaïm a lancé sa deuxième saison à la tête de C’est que de la télé. L’appétit de Cyril Hanouna a contraint l’animatrice à restreindre son programme amputé d’une vingtaine de minutes.

Un nouvel opus a été proposé ce mercredi 4 septembre. Thibaud Vézirian, Francesca Antoniotti et Emilie Lopez ont accueilli un petit nouveau dans leur bande, Gilles Verdez, bien connu des fanzouzes.

Eric-Emmanuel Schmitt a été reçu dans le cadre de la sortie de son oeuvre « Journal d’un amour perdu » qui revient sur la mort de sa mère : « Quand ma mère est morte, je n’ai pas pensé à ma tristesse, j’ai pensé à elle. Le chagrin n’est pas égoïste contrairement à ce que l’on croit. ».

Verdez a fait son petit effet

Gilles Verdez a fait une intervention remarquée sur la question de savoir si les vacances à deux étaient nuisibles pour les couples : « C’est ravageur ! ». Il a ensuite développé : « J’ai été largué après un mois de vacances que je jugeais paradisiaques. Jeune, j’étais un peu radin et on ne prenait pas de douches pour faire des économies ».

La première partie de C’est que de la télé s’est appuyée sur 191 000 Français et 2.3% des téléspectateurs, avant que la suite ne fédère 2.9% du public, pour un total de 274 000 fidèles. 5.1% des 25-49 ans et 6.3% des 15-34 ans ont été présents lors des 20 premières minutes d’émission. 1.9 et 2.6% des 4 ans et plus s’étaient mobilisés la veille pour le retour du divertissement.