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Catherine Barba (Qui veut être mon associé, M6) : « Je suis déjà partante pour une saison 2 ! »

Andy Andrian
Publié le 21/01/2020 à 19:24 Mis à jour le 29/01/2020 à 13:20

Catherine Barba fait partie des six investisseurs de Qui veut être mon associé, à découvrir chaque mardi à 21h05 sur M6. Pour Toutelatele, elle a accepté de revenir sur cette expérience.

Andy Andrian : Pourquoi avoir accepté de participer à Qui veut être mon associé sur M6 ?

Catherine Barba : Je suis investisseur depuis longtemps et j’ai toujours voulu soutenir la vitalité des entrepreneurs. J’ai accepté pour trois raisons. Tout d’abord, j’ai eu envie de donner du temps pour promouvoir les entrepreneurs et j’ai eu la possibilité de le faire de manière amplifiée avec la télévision. Puis, j’ai voulu transmettre la fibre entrepreneuriale au grand public, car tout le monde peut le faire. Enfin, j’ai souhaité sensibiliser les téléspectateurs quant à la notion d’investissement. Plus globalement, cette aventure m’a permis d’apprendre énormément de choses et m’a beaucoup enthousiasmé.

Quelle a été votre réaction au moment de découvrir l’identité des autres investisseurs ?

J’ai retrouvé mes potes Marc Simoncini et Frédéric Mazzella. J’étais heureuse de les voir à mes côtés. Concernant Éric Larchevêque, Delphine André et Marc Vanhove, on a pris le temps d’échanger et de se connaître. Ensemble, on a réussi à bien rigoler avec plusieurs moments de partage entre nous. C’était très humain. D’ailleurs, je pense que dans Qui veut être mon associé ?, on parle plus de projets et d’envie que d’argent.

Comment les temps de parole ont-ils été répartis entre vous ?

Il n’y avait pas de règles. Tout dépendait du sujet. Les membres du jury qui étaient intéressés par le thème et l’univers de l’entrepreneur posaient leurs questions. Après, on se battait un peu parce qu’on avait des fortes personnalités dans la salle. Malgré cela, c’était bien réparti en général et les échanges étaient très vivants.

« Cette émission est un message d’espérance »

En quoi cette première émission télévisée a-t-elle été un challenge pour vous ?

Pour moi, le défi était surtout de propager en France le bel esprit d’entreprise. Mon rêve est de voir les téléspectateurs se rendre compte de l’aspect génial de l’entrepreneuriat et des possibilités offertes par ce monde. C’est vraiment un message d’espérance.

Quels projets vous ont particulièrement marqués ?

J’ai été cohérente avec mes habitudes professionnelles en dehors de la télévision. Généralement, j’investis dans des projets portés par des entrepreneurs qui sont différents des habitudes et qui se rapprochent de la notion de diversité aux États-Unis. Dans ce sens, j’ai surtout retenu ce concept de protège-tibia connecté pour les footballeurs. J’ai vraiment insisté sur les propositions qui avaient du sens et de l’impact. Également, j’ai été marquée par une jeune femme qui s’est lancée dans une entreprise confectionnant des vêtements pour personnes handicapées. Pour sa part, même si elle visait certains objectifs financiers, elle était surtout dans la recherche de solutions et ce genre d’actions me touche particulièrement.

« J’ai croisé des personnes que je n’aurais jamais vues... »

En quoi ces rencontres étaient-elles différentes par rapport à vos entrevues habituelles ?

De manière ordinaire, j’ai l’habitude de recevoir des propositions en lien avec le monde des nouvelles technologies comme les intelligences artificielles. Dans Qui veut être mon associé ?, j’ai eu l’occasion de découvrir des projets très variés. J’ai pu croiser des personnes que je n’aurais jamais vues dans un autre cadre.

Quel bilan tirez-vous de cette participation à Qui veut être mon associé ?

Personnellement, j’ai été satisfait de l’utilité de cette émission. Par la suite, on verra si les Français sont touchés par ce programme. En tout cas, je serais carrément partante pour une nouvelle saison !