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Cauchemar en cuisine (Hyères) : Vanessa craque et fond en larmes, Philippe Etchebest étonné par Stéphane à La Table d’Enzo

Joshua Daguenet
Par
Rédacteur TV & Séries
Publié le 14/06/2018 à 18:54 Mis à jour le 14/06/2018 à 19:02

Une nouvelle mission attend Philippe Etchebest dans Cauchemar en cuisine ce jeudi 14 juin sur M6, à partir de 21 heures.

Après s’être rendu à Canet-en-Roussillon, le chef nordiste pose son tablier à Hyères pour venir en aide à Vanessa et Stéphane, dirigeants du restaurant « La table d’Enzo », épaulés par le cuisinier Christophe.

Depuis leur prise en main de l’établissement, 20 mois auparavant, la situation économique du restaurant n’a pas évolué et les clients se font désirer. Vanessa a pourtant déversé toutes ses économies pour le restaurant. Les difficultés professionnelles ont même déteint sur un couple multipliant les disputes. Les vingt ans d’expérience de Stéphane en cuisine ne suffisent pas à établir une dynamique, gâchées par un manque total d’organisation et de communication.

A son arrivée, Philippe Etchebest tombe sur une Vanessa qui ne peut contenir ses larmes, en allant se réfugier dans les toilettes. Elle estime être « à bout » face à ce restaurant qui ne marche pas, et son couple à la dérive.

Dès le deuxième jour, les tensions permanentes entre le trio, le comportement de total déni adopté par Stéphane vont énerver au plus haut point le gastronome à la barbe grisonnante. Celui-ci va même se demander s’il n’est pas préférable de renoncer à sa mission.

L’émission a été tournée début février. Depuis, l’établissement enchaîne les avis positifs sur le site Tripadvisor. Le cadre champêtre, l’ambiance et l’accueil chaleureux et la fraîcheur des plats sont salués par les clients.

Le 7 juin, Cauchemar en cuisine a rassemblé 2.96 millions de téléspectateurs, pour 14.2% de part de marché, dont 26% des moins de 50 ans et des femmes de moins de 50 ans. Un record depuis octobre 2016 pour la chaîne.

Philippe Etchebest (Cauchemar en cuisine, Hyères) : « Vanessa et Stéphane sont au bout du rouleau, c’est violent... »