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Clem, saison 8 : pourquoi Victoria Abril est moins présente sur TF1

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Rédacteur - Expert TV
Publié le 09/04/2018 à 16:02

Depuis le 19 mars, les téléspectateurs ont rendez-vous avec la huitième saison de Clem chaque lundi soir sur TF1. Alors que deux inédits seront programmés ce lundi 9 avril à 21 heures, les six nouvelles aventures de Lucie Lucas, Victoria Abril et Agustin Galiana ont rassemblé en moyenne 4.72 millions de téléspectateurs. Les parts de marché ont atteint 21% sur les 4 ans et +, 31.7% sur les ménagères de moins de 50 ans et 37% sur les 15/24 ans. Malgré un bilan globalement orienté à la baisse, la série française continue de positionner la Une en tête auprès de ces trois publics.

Les deux épisodes, programmés ce lundi 9 avril à 21 heures, seront marqués par le grand retour de Jean-Paul. Le père de Clem, incarné par Laurent Gamelon , n’était plus apparu dans la série depuis la saison 5. Il tentera de venir en aide à sa fille Salomé, qui vient de vivre un avortement. Alors que son personnage Caro s’est envolé pour le Canada dans l’espoir d’y reconquérir Xavier, joué par Philippe Lellouche, Victoria Abril ne fera qu’une seule apparition sur l’ensemble de la soirée. L’actrice, qui a triomphé avec Paprika en prime time sur France 2 le mardi 3 avril, s’est confiée à Télé Câble Sat sur sa présence moins importante dans la saison 8 de Clem .

« Je suis un peu moins présente, car je devais répéter la pièce de théâtre. Il est vrai que j’en ai un peu marre, je suis un peu lassée », a-t-elle expliqué, tout en soulignant que Clem lui prenait sept mois dans l’année. La comédienne, qui ne cache pas son envie de se consacrer à de nouveaux projets, a déjà fait part de son souhait de réduire sa présence dans la série. Elle a même évoqué la possibilité de la quitter à l’issue de la saison 8. « Depuis qu’on est passé à 10 épisodes de 52 minutes, c’est un peu trop formaté série. Avant, on touchait des thèmes importants, graves parfois, l’alcoolisme, le cancer, l’euthanasie… Désormais, c’est une famille qu’on fait évoluer », avait-elle déploré dans les colonnes du Parisien.