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Cyril Hanouna / Patrick Sabatier (C8) : coulisses d’un tournage compliqué

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Rédacteur - Expert TV
Publié le 16/01/2019 à 18:55 Mis à jour le 16/01/2019 à 20:18

Après avoir marqué l’histoire de la télévision dans les années 80, Patrick Sabatier fera ses premiers pas sur C8 ce mercredi 16 janvier. Dès 21 heures, l’animateur donnera le coup d’envoi d’ On se retrouve chez Sabatier , émission inspirée de ses célèbres Avis de recherche et Jeu de la vérité.

Cyril Hanouna sera le premier invité du nouveau rendez-vous de Patrick Sabatier. Sous la complicité des anciens camarades de classe de l’animateur de Touche pas à mon poste, celui qui a a officié à la tête de Mot de passe sur France 2 fera découvrir aux téléspectateurs la vraie personnalité de l’homme fort de C8. Patrick Sabatier a confié à Télé Loisirs que la direction de la chaîne du groupe Canal+ lui avait demandé « l’ADN de Sabatier avec de l’émotion et du partage ». « D’où le nom On se retrouve chez Sabatier. Je le trouve plutôt prétentieux, mais Franck Appietto (directeur de C8, ndlr) m’a dit que j’étais une marque ! », a-t-il expliqué, tout en étant conscient qu’il était un « inconnu » pour « toute une génération ».

Pourtant producteur d’On se retrouve chez Sabatier, Cyril Hanouna a délaissé la production artistique à Patrick Sabatier. « Je lui ai fait promettre de ne soudoyer personne. Comme dans Avis de recherche à l’époque, il est resté isolé dans sa loge une heure avant l’enregistrement. Mais je lui ai laissé son téléphone », a ajouté le nouvel animateur de C8, tout en promettant des révélations aux fans de TPMP. « J’ai dû me mettre en colère pour bloquer trois heures dans son agenda ! Ses camarades de classe m’ont aidé et j’ai passé de longues soirées avec sa mère, une dame très réservée », a souligné Patrick Sabatier. En revanche, il lui a fallu beaucoup de persuasion pour convaincre le père de Cyril Hanouna à participer à l’émission. Habitué à tout gérer, le présentateur de TPMP affrontera de nombreuses surprises non sans émotion.

Patrick Sabatier et les limites d’un retour sur C8