D&Co > 25/10/2009
Valérie Damidot sur M6
Aujourd’hui, Valérie Damidot et ses boys sont accueillis par Monique, 50 ans, et Jean-François, 47 ans locataires d’un appartement de 70 m² avec leur fille cadette, Camille, 16 ans. Justine, 19 ans, qui poursuit ses études à Lille, se porte, quant à elle, volontaire pour aider sa famille en participant aux différents travaux.
Originaires du nord de la France, Jean-François et Monique ont connu une longue période de chômage. Ils ont enfin trouvé un emploi de gardiens d’immeuble en région parisienne il y a un an, mais le couple s’est rapidement aperçu que l’appartement dans lequel ils ont emménagé
peut difficilement contenir les gros meubles rustiques provenant de leur ancienne demeure. La famille vit désormais dans un logement très encombré mais n’a pas les moyens de changer son mobilier.
Alors, pour le salon, Valérie n’y va pas par quatre chemins : « Tout nous quitte ! » Les meubles disparaissent ainsi et la pièce, d’un blanc immaculé, laisse place au noir et au vert avec du papier peint « modernes ». La chambre de Camille est, elle aussi, entièrement refaite, à l’exception de la commode customisée. Ici, l’ambiance est américaine avec plusieurs décorations made in New York. Les couleurs, elles, sont le noir, le gris et l’orange. Enfin, pour gagner de la place, les experts de D&Co offrent à la demoiselle un canapé/lit rouge. La chambre des parents, quant à elle, a le droit à un lit flambant neuf ainsi qu’une nouvelle table de chevet dans un esprit « japonisant » et « zen ».
Celle que l’on surnomme « Valoche » distille ses précieux conseils afin de donner de l’espace à l’appartement, priorité du jour. Pour ce faire, les différentes peintures sont appliquées par bandes verticales et horizontales. L’animatrice en profite également pour apprendre aux téléspectateurs comment créer une branche de cerisier japonais à l’aide de punaises et la conception d’un dressing.
Toutes ces nouveautés et le gain de place réalisé par les équipes de D&Co enchantent notre couple. Désormais leur demeure ne ressemble plus « à un chantier ».