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David Boreanaz (Seal Team, M6) : « La grosse difficulté était de travailler le mental de Jason Hayes »

Joshua Daguenet
Par
Rédacteur TV & Séries
Publié le 03/11/2018 à 17:01

Ce samedi 27 octobre, M6 a dégainé une nouvelle série : Seal Team, une série militaire marquant le retour de David Boreanaz, affilié à la chaîne privée (Buffy contre les vampires, Bones.) Les trois premières aventures ont peu convaincu, rassemblant en moyenne, 1.71 million de Français et 9.4% de part de marché.

Jason Hayes et son unité d’élite revêtissent la combinaison pour trois épisodes supplémentaires dès 21 heures ce samedi 3 novembre : « Les fantômes du passé », « La chute » et « 14 minutes ». La traque d’un criminel estonien œuvrant pour les Talibans animeront le début de soirée. Jason Hayes et les Navy Seals investissent ensuite le Soudan du Sud suite au meurtre d’une humanitaire alors que les rebelles accusent les États-Unis d’ingérence. Enfin, Jason est contraint de s’associer avec Beau Fuller, un rival de l’unité Charlie. Les deux équipes doivent déloger en 14 minutes un chef d’Al Qaïda dans la réplique d’un bunker.

Pour Télé Loisirs, l’acteur star de la nouvelle série de M6 a exprimé sa reconnaissance de pouvoir interpréter ce personnage : « Je mesure la responsabilité d’incarner Jason, qui rend hommage à tous les professionnels de l’armée et de la sécurité de notre pays. Je n’ai vraiment pas pris ce rôle à la légère ». Il a ensuite détaillé sa préparation : « J’ai l’impression d’avoir la condition physique nécessaire pour jouer ce genre de personnage étant joueur de hockey. La plus grosse difficulté était plutôt de travailler sur le mental de Jason Hayes, pour faire passer ce que ces hommes éprouvent durant les combats ».

Enfin, le comédien de 49 ans a eu un mot pour la fin de l’aventure Bones, après 12 saisons : « Jouer dans Bones a été un magnifique voyage. Nous formions une très belle équipe. Mais je suis heureux, avec Seal Team, de changer de registre en montrant que je peux faire autre chose ». Il a ensuite refermé l’interview sur une touche du Parrain : « C’était une proposition que je ne pouvais vraiment pas refuser ».