Giuseppe, Mickaël Vendetta et Cindy Sander, quand la télé-réalité enrichit

Dans le cadre d’une enquête sur les revenus des anciens candidats de télé-réalité, Télé Loisirs s’est penché sur les « à côtés » qui s’offrent aux « petits soldats » du genre. L’hebdomadaire a ainsi passé en revue les prétentions tarifaires de différentes personnalités, entre séances de dédicaces, soirées, interviews et autres reportages photos.

Ainsi, en sortant de La Ferme, Mickaël Vendetta a décidé de ne donner aucune interview pour faire monter les enchères de son premier entretien à la presse. Stratégie payante pour le gagnant du programme qui a réussi à négocier 15 000 euros cette publication. Entre sa participation à l’émission de TF1, celle de Carré ViiiP, son droit à l’image et la vente de ses interviews, Mickaël Vendetta affirme avoir amassé, au total «  près de 500 000 euros en deux ans  ». Un somme qui laisse cependant l’hebdomadaire perplexe.

De son côté, en se ridiculisant dans Nouvelle Star, Cindy Sander (notre illustration) « a gagné la bataille du buzz ». Résultat, pour poser, radieuse, avec Sébastien son mari/manager et leur fils, la chanteuse en herbe a pu obtenir 20 000 euros. « À l’arrivée, son échec sur M6 nous a rapportés une centaine de milliers d’euros », se vante même ce dernier. Aujourd’hui, l’interprète de Papillon de lumière vit de ses galas...

Quant à Giuseppe, l’exécrable personnage de Qui veut épouser mon fils, il aurait réussi à prendre sa revanche financière sur l’émission après avoir été rémunéré seulement 1200 euros. Une série de sujets sur ses aventures, façon « feuilleton people », est ainsi facturée 35 000 euros. Pour autant, l’intéressé a au moins conscience du caractère éphémère de son intérêt de la part de lecteurs. « Médiatiquement, je serai fini dans un an », avoue-t-il.