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Gosses de riches > Noah Blake

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Publié le 28/10/2005 à 01:21 Mis à jour le 09/05/2011 à 14:32

Depuis le 9 septembre, E Entertainment crée l’événement et propose sa nouvelle émission de télé réalité Filthy Rich : Cattle drive. Pour l’occasion, 10 gosses de riches se transforment en apprentis cowboys. Les héritiers doivent apprendre à conduire un troupeau de 200 têtes sur plusieurs centaines de kilomètres dans les montagnes du Colorado. Exit la belle vie et le luxe, place au plaquage des veaux à terre et à la mise bas des vaches ! Pendant toute la diffusion, Toutelatele.com part à la rencontre de ces gosses de riches. Et pour cet ultime épisode, Noah Blake nous confie que les meilleurs moments qu’il a passé avec le groupe, c’était seul ! Du reste, le fils de Robert Blake n’a pas voulu vraiment se mêler à ces « gosses de riches », et a préféré jouer au cow-boy solitaire.

Jérôme Roulet : Pourquoi avoir accepté le challenge de Gosses de riches : la vie au Far West ?

Noah Blake : Je voulais voir si l’éducation spirituelle que j’ai reçue était suffisante pour passer du temps au sein d’un groupe d’enfants riches et supporter de les entendre se plaindre 24 heures sur 24 pendant trois semaines. De toute évidence, j’ai besoin d’apprendre davantage !

Jérôme Roulet : Avant de vous lancer dans cette aventure, avez vous demandé l’avis de votre entourage, dont celui de votre père, l’acteur Robert Blake ?

Noah Blake : Non, mon propre conseil était le meilleur !

Jérôme Roulet : L’émission vous définit comme étant un gosse de riche. Vous reconnaissez-vous vraiment dans cette expression ?

Noah Blake : Pas du tout ! Et puis, je ne pense pas que l’émission me considère comme un gosse de riche. Ce programme a vraiment montré que j’étais en retrait par rapport au groupe et ce à maintes reprises.

Jérôme Roulet : Quel restera votre souvenir le plus marquant de cette aventure ?

Noah Blake : Les missions en solo sont les moments que j’ai le plus appréciés. J’étais tranquille avec mon cheval et je profitais de la paix et de la perfection du domaine.

Remerciements à Michelle Lair et Samantha Szwec.