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Julien Cohen (Affaire conclue) : « Les enchères sont stratégiques, je ne me fixe aucune limite »

Joshua Daguenet
Par
Rédacteur TV & Séries
Publié le 10/05/2018 à 15:25

Suite à ses excellents résultats depuis le début de l’année 2018, Sophie Davant a propulsé le divertissement Affaire conclue : tout le monde a quelque chose à vendre en prime time ce jeudi 10 mai sur France 2.

Un rendez-vous délocalisé au château de Méridon dans les Yvelines dans lequel sept acheteurs vont faire monter les enchères pour des objets historiques et insolites : Julien Cohen, Gerald Watelet, Alexandra Morel, Anne-Catherine Verwaerde, Alain Laugier, Pierre-Jean Chalençon et Stéphane Vanhandenhoven. Aussi, ils dévoileront ce que sont devenus le reliquaire Napoléon, la statuette en chryséléphantine, la torpille, le couffin en osier, le scopitone ou encore la montre automatique acquis ces dernières semaines.

Pour cette spéciale, deux célébrités sont attendues auprès de l’animatrice : le commentateur sportif Nelson Monfort et l’acteur de Nos chers voisins, Gil Alma. Le premier cité a accordé une interview au Télé 7 Jours. Venu « proposer les patins à glace de Phillie Candeloro », l’acolyte du célèbre patineur a précisé que « Philippe n’a jamais eu plus de trois ou quatre paires de patins », soulignant le geste du sportif, d’autant que « la somme récoltée sera versée à l’association Face au monde » dont Nelson Monfort est le parrain depuis 2006. L’animateur a aussi informé que les négociations se sont avérées compliquées : « Au départ, les experts n’en ont pas voulu. Pour eux, les patins étaient trop vieux ». Pour conclure, Nelson Monfort a déclaré avoir apprécié ce moment : « J’ai rencontré de vrais passionnés, qui n’étaient pas venus pour montrer leur visage à l’antenne ».

Julien Cohen, l’un des sept antiquaires du soir, a, de son côté, répondu aux questions du Télé Star, sur ce prime événement. Il a indiqué quel objet l’avait le plus marqué parmi ses 250 achats depuis l’arrivée de l’émission : « J’ai beaucoup aimé le tableau d’une petite fille qui a été fait en Autriche en 1887. Il est revenu chez le restaurateur encore plus beau. J’ai même envoyé la photo à l’ex-propriétaire, elle était ravie ». Il a aussi indiqué ne pas se fixer de limite d’enchères : « Je pars du principe que l’argent est une denrée épuisable. Plus j’arriverai à épuiser l’argent de mes petits copains, moins ils en auront pour les objets qui peuvent éventuellement me plaire ».

Affaire conclue, le prime : tout ce qui vous attend ce soir à 21 heures avec Sophie Davant au château de Méridon