L’Amour est dans le pré 9 > Caroline fait pleurer un de ses prétendants

La semaine dernière, François, Bertrand, Emeline, Marc et Christophe (« l’Auvergnat ») vivaient leurs deux premiers jours en compagnie de leurs prétendant(e)s. Et déjà se dessinaient des affinités et ses dissonances. Aujourd’hui c’est au tour de Nicolas, Thierry, Chrystèle, Christophe et Caroline de commencer à côtoyer leurs invité(e)s pour les connaître un peu mieux et, pourquoi pas, les séduire.

L’épisode démarre en Vendée, chez Christophe. Cet « éternel célibataire » a reçu Séverine quelques heures avant Marie-Noël. À l’issue de l’étape cruciale des courses alimentaires, l’hôte offre des fleurs à ses deux femmes. Pour les recevoir en toute quiétude, celui qui a toujours vécu chez sa mère bénéficie d’un logement. Sur place, les prétendantes profitent du moment « cadeaux » pour rivaliser de petites intentions et de générosité. De bon matin, dès 7 heures, Marie-Noël et Séverine sont bottes aux pieds pour suivre l’éleveur en salle de traite. Celui-ci possède une cinquantaine de vaches laitières. C’est aussi l’occasion de rencontrer Bruno, le frère de Christophe qui travaille également sur l’exploitation. À l’issue de la journée découverte, les prétendantes semblent adhérer à son mode de vie. « C’est une première journée très enrichissante », affirme Séverine.

Dans l’Indre, Carmen, 84 ans, est aux premières loges pour suivre l’évolution de la vie sentimentale Thierry. La matriarche accueille même la première venue. En l’absence de Catherine, retenue pour des raisons familiales, Isabelle bénéficie de temps pour gagner des points. Mais pas question de préparer un petit dîner au célibataire, Carmen gère la cuisine. L’invitée se rattrape alors avec la vaisselle. « Elle est très gentille. (…) Elle s’intéresse vraiment à ce que je fais. Mais pour l’instant je ne dis rien. J’attends la deuxième », témoigne l’agriculteur.

Le lendemain, Isabelle, soucieuse de bien faire, souhaite savoir comment bien déguster le fromage. L’occasion de mettre son interlocuteur de bonne humeur avant d’en savoir plus quant à sa quête avec un interrogatoire sur les ambitions amoureuses de Thierry, toujours devant sa génitrice. Et le message est clair : ce dernier ne veut pas mettre la charrue avant les bœufs. Reste à savoir si l’arrivée de Catherine va perturber l’harmonie du trio…

Caroline, l’éleveuse de poneys dans le Tarn se concentre à 100% au centre équestre qu’elle a créé. Malgré l’arrivée de Miguel, la candidate n’a rien changé à ses habitudes. De quoi déconcerter le chef cuisinier. Alors que la nuit tombe, l’invité attend sagement à l’intérieur avant d’ouvrir la porte à Christophe, le second prétendant. Quelques minutes plus tard, le trio est réuni. L’hôtesse appelle son frère pour un quiz par téléphone. La gagnant aura le droit à la grande chambre. Un questionnaire qui révèle certains traits de la personnalité des deux hommes. À l’issue de la partie, Christophe l’emporte face à un Miguel un brin mauvais joueur. « Il a un point de vue très arrêté auquel je n’adhère pas forcément, avoue Caroline au sujet de ce dernier. J’ai senti Christophe beaucoup plus ouvert. » Pour la deuxième journée, la monitrice va se consacrer à ses élèves et laisse une liste de corvées à ses invités. Malgré un léger retard dans le planning, la matinée s’achève dans la bonne humeur pour les deux apprentis. La pause déjeuner expédiée déçoit les prétendants. « J’ai besoin de passer du temps avec elle », affirme Miguel agacé du peu de temps attribué par Caroline. Et une irruption du duo lors d’un cours laisse la monitrice imperturbable. Un échec.

Invisible toute la journée, « l’amazone » a décidé de se rattraper en invitant ses cavaliers à aller danser. « J’ai tout à fait confiance que j’ai laissé peu de place aux garçons depuis leur arrivée, concède-t-elle. Mais ça fait aussi partie de mon quotidien. » Ce soir, Caroline est entièrement disponible pour ses prétendants. Direction Castres où se trouve l’école de danse. Et la piste est l’occasion parfaite aux confessions pour Miguel. Des confidences qui se poursuivent même à l’écart des autres. Au point où l’homme se met à pleurer !

Chrystèle, l’éleveuse de chiens dans la Vienne, rêve d’évasion dans les bras d’un prince charmant, mais a sacrifié sa vie pour ses compagnons à quatre pattes. Après Jérôme, Yann arrive à l’issue d’un trajet de plus de 500 kilomètres. Ce consultant financier, adepte des dalmatiens, offre à son hôtesse un vaporisateur en forme de chien. Mais, à ce stade, ce dernier « fait peur » à Chrystèle : « Je me demande ce qu’il vient chercher à la campagne. »

En Meurthe-et-Moselle, les équipes de L’Amour est dans le pré se délectent de la concurrence entre Maryline et Magali, non sans exagérer la tension ambiante. Le céréalier un brin macho s’amuse de la situation. Selon la voix off de Karine Le Marchand, l’arme des deux femmes est « la joute verbale » et « tous les coups » seraient permis. Une simple discussion sur le sport bénéficie d’ailleurs d’un montage comme l’émission en a si bien le secret. L’animatrice va même jusqu’à compter des points en donnant un avantage à celle qui fait la cuisine… Le lendemain, Magali « dégaine » la première et obtient un moment en duo avec Nicolas en quad. Puis, la balance est équilibrée avec un cours particulier de tractopelle en compagnie de Maryline. Et la Bordelaise a effectué sa tâche avec brio. L’épicurien organise par la suite un pique-nique avec les demoiselles. Une discussion sur les téléphones « ravive la compétition » lorsque l’agriculteur fait croire un bref instant qu’il possède le numéro de Magali. Puis, pour départager les deux femmes, Nicolas propose un cours de labour en tête à tête.

Magali fait vite comprendre que les travaux des champs ne sont pas sa priorité. « Je peux pas tout regarder en même temps », affirme-t-elle avant de demande si son hôte est « toujours content » de sa présence. Entre deux sillons, la jeune femme semble avoir ouvert une petite brèche. Quand vient son tour, Maryline fait preuve de beaucoup moins d’audace.