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L’année des méduses (6Ter) : Valérie Kaprisky, pourquoi la nudité a eu raison de sa carrière ?

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Rédacteur - Expert TV
Publié le 12/08/2019 à 17:48 Mis à jour le 13/08/2019 à 00:05

Depuis la rentrée 2018, Valérie Kaprisky est à l’affiche d’Un si grand soleil, le nouveau feuilleton quotidien de France 2. La comédienne sera présente à l’antenne de 6Ter ce lundi 12 août à 21 heures à travers L’année des méduses . Sorti en 1984, le film de Christopher Frank met également en scène le regretté Bernard Giraudeau.

Valérie Kaprisky campe le rôle de Chris, une lolita de dix-hui ans. Alors qu’elle est en vacances sur la Côte d’Azur avec sa mère Claude, incarnée par Caroline Cellier, l’adolescente se retrouve par hasard avec son ancien amant Vic et Romain Kalides, respectivement joués par Jacques Perrin et Bernard Giraudeau. Alors qu’elle tombe éperdument amoureuse de lui, Romain se prend de passion pour Claude qu’il juge plus sincère et sensuelle. Jalouse comme une tigresse, Chris va tout mettre en oeuvre pour les séparer.

Après des débuts dans « Le jour se lève et les conneries commencent » et « Les hommes préfèrent les grosses », Valérie Kaprisky n’a pas laissé indifférente le public. Le film L’année des méduses a joué un rôle précurseur dans sa toute jeune carrière. Comme cela avait été le cas dans « La femme publique », l’actrice est amenée à multiplier les scènes où elle apparaît nue. Dès lors, elle s’attire les foudres de la presse qui l’accuse de provocation. Confrontée à un lot de critiques sans précédent, la comédienne entretient alors un rapport difficile avec la nudité au cinéma. Le trouvant insupportable, elle décide de ne plus participer à ce système dès la fin des années 80. Malgré les nombreuses relances de producteurs, Valérie Kaprisky préfère sacrifier sa carrière plutôt que d’apparaître dans le plus simple appareil sur un plateau. Dès lors, elle s’est sensiblement faite rare sur le grand écran...