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La Casa de Papel, saison 3 sur Netflix : le retour de Berlin (Pedro Alonso), le « méchant capable de briser des tabous »

Andy Andrian
Publié le 19/07/2019 à 16:42 Mis à jour le 19/07/2019 à 23:16

Depuis ce vendredi 19 juillet, la troisième partie de La casa de Papel est disponible sur Netflix. Le Professeur et son équipe sont de retour pour un nouveau braquage rempli d’audace. L’intrigue s’étend sur huit épisodes d’une durée de 40 à 57 minutes.

Le professeur doit sauver un des membres de son équipe

Pour cette nouvelle salves d’épisodes, l’intrigue débute après le casse spectaculaire de la Fabrique Nationale de la Monnaie et du Timbre ayant conclu la saison 2. L’équipe menée par la Professeur s’éparpille aux quatre coins du monde. Cependant, il est quelques temps après contacté par Tokyo (Úrsula Corberó). Cette dernière lui apprend la capture de Rio par les forces de l’ordre. Il doit alors monter un nouveau braquage avec une équipe remaniée dans le but de sauver son ami.

La saison 3 de La Casa de Papel voit l’arrivée de personnages totalement inédits. Egalement, les fans peuvent se réjouir du retour du Professeur et de plusieurs de ses acolytes historiques tels que Tokyo ou Nairobi (Alba Flores). Mais surtout, c’est l’apparition de Berlin (Pedro Alonso) qui a surpris. Pour rappel, son personnage n’a pas survécu au casse de la saison 2.

Berlin, « un personnage ambivalent »

Lors d’une interview pour Télé Star, l’acteur s’est exprimé quant à l’évolution de Berlin. Selon lui, le personnage doit sa popularité au fait qu’il soit « méchant, dangereux mais aussi honnête, drôle, authentique ». « C’est un personnage ambivalent que l’on peut y retrouver certaines de nos failles personnelles » ajoute-t-il. Egalement, « sa capacité à briser des tabous » est un atout plaisant pour le public.

Le comédien a apporté plusieurs modifications à son personnage. Ainsi, il a appris à le connaître « progressivement » le tout sans connaître « sa maladie ». Pedro est aussi revenu sur le succès mondial de La Casa de Papel. Pour l’acteur, c’est une chose « totalement irrationnelle ». Il tient tout de même à modérer son propos en précisant « qu’il faudra attendre encore quelques années avant de pouvoir analyser un tel phénomène ».