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Laurence Ferrari (Le Grand 8) : « L’adversité me stimule »

Alexandre Raveleau
Publié le 16/08/2013 à 16:54

La rentrée sera chargée pour Laurence Ferrari. Sur I>Télé, la journaliste retrouvera le « hard news » avec Tirs croisés, tous les jours de 18 heures à 19h30 à partir du 26 août. Et dès le 2 septembre, elle sera aux côtés de ses complices dans Le Grand 8. Dans les pages de TV Grandes chaînes, la présentatrice revient sur sa double actualité.

Au sujet de son arrivée au micro de I>Télé, elle explique : « J’ai hâte de retrouver Audrey (Pulvar ndlr) et Jean-Claude (Dassier ndlr), qui fut mon patron à TF1. Je souhaitais les avoir à mes côtés, car je sais qu’ils sauront débusquer les contradictions des politiques. Ils vont faire des étincelles ! ». Tous les soirs, le trio sera face aux ministres, députés et sénateurs, pour une interview 100% politique. En plus du flash info, cette nouvelle tranche comprendra également un entretien avec une autre personnalité, questionnée par Laurence Ferrari en solo.

Avant de reprendre sa quotidienne sur D8, qui accueille de nombreux nouveaux visages, Laurence Ferrari a été placée au centre du mercato par plusieurs observateurs. Elle remet dans cette entretien les pendules à l’heure. Lui a-t-on proposé Dimanche+ ? « La chaîne ne me l’a pas proposé ! De toute façon, même si elle l’avais fait, je n’aurais pas accepté, parce que j’ai déjà présenté cette émission par le passé ».

A-t-elle été intéressée par Le Grand Journal de Canal+ ? Là encore, elle va droit au but : « C’est complètement faux ! Je n’ai absolument pas postulé pour lui succéder (à Michel Denisot ndlr). Je suis très heureuse avec Le Grand 8 ». Devant les critiques qui n’ont pas manqué d’émailler le lancement en demi-teinte de talk-show matinal de D8, qui se sont ajoutées à celles du 20 heures et son départ de TF1, elle répond : « L’adversité me stimule. Je ne baisse jamais les bras ».