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Le Morning de Fun radio en TGV : une journée avec Cauet (1/2)

Ariane Grassi
Publié le 24/04/2006 à 01:34 Mis à jour le 14/05/2006 à 23:14

Le 6 avril dernier, Cauet et sa joyeuse équipe du Morning de Fun Radio ont décidé de réaliser l’émission « la plus rapide du monde » via le TGV Paris/Marseille. Pour réaliser cet incroyable défi, il a fallu monopoliser 9 voitures TGV, 2 locomotives et 1 avion. Lancé à plus de 300 km/h, Cauet a réussi le pari malgré quelques incidents techniques. Pour Toutelatele.com, Mélanie Perrot et Ariane Grassi ont suivi l’animateur pendant toute cette folle journée.

Première partie

04:30 Pour un lever aussi matinal, il faut vraiment une bonne raison, comme par exemple un aller-retour à Marseille à bord d’un TGV totalement investi par Cauet et toute son équipe, Cécile, Miko, Cartman..., pour une émission de radio très spéciale : plus de trois heures de transmission en direct d’un train ! Une première dans l’histoire de la radio !

05:30 Gare de Lyon. A 5h30, il fait nuit et... froid ! Quelques personnes attendent déjà, le reste de la troupe arrive petit à petit. Une trentaine d’auditeurs ont été conviés, on les repère à leur pas décidé. Le train ne partira pas sans eux !


Cauet rencontre Cauet

06:10 Distribution par les hôtesses Fun Radio des bracelets scintillants qui permettent aux privilégiés que nous sommes, d’embarquer. Presque tous les passagers sont là... Manquent encore Cauet et son équipe. Ils assurent, en effet, les premières minutes de l’émission depuis un studio spécialement aménagé dans la gare.

06:25 Le train se remplit. Deux voitures sont entièrement occupées par les dispositifs techniques. Un émetteur a même été soudé à la locomotive pour assurer la liaison satellite avec l’avion qui accompagne le train et permet les changements de réseau au fil du parcours. L’émission a été minutée à la seconde près pour que la pub coïncide avec les tunnels !


Toute l’équipe est en place !

06:35 Cauet prend place dans le train où il a rejoint le groupe de l’émission. Les musiciens ont fait le déplacement avec leurs instruments, parfois en version light (la batterie est réduite au minimum). L’ambiance est au beau fixe, l’équipe chantonne pendant les derniers réglages techniques.

06:40 C’est parti ! Cauet et son invité Pascal Sellem s’amusent de ce « train très mégalo » à l’effigie de l’animateur. Celui-ci a à peine le temps de prendre l’antenne, que la connexion est brutalement interrompue. Réaliser une expérience inédite n’est pas sans risque...
La technique n’est visiblement pas encore tout à fait au point, mais cela n’entame en rien la bonne humeur générale. En attendant le retour de l’antenne, rien de tel qu’un petit bœuf improvisé ! Les auditeurs, installés un wagon plus loin, en profitent pour venir par petits groupes découvrir ce studio hors-norme. En bon fan qui se respecte, personne n’a oublié son appareil photo.


Cauet à la rencontre des auditeurs

07:15 Après le lever du soleil, Cauet présente un nouvel invité, Philippe Pujol, détenteur d’un record bien particulier, celui du plus grand nombre de bruits imités à la minute. Une performance, certes, mais qui suscite toutefois bien moins d’intérêt que les croissants et pains au chocolat distribués au même moment.

07:25 Cauet et ses acolytes partent à l’assaut du train. Grâce à eux, nous avons désormais la réponse à une question cruciale : à combien peut-on rentrer dans les toilettes d’un train ? Réponse : 7 ! Qui l’eût cru ?


Cauet prend les commandes du TGV

08:00 Les problèmes d’antenne continuent de ponctuer le déroulement de l’émission. Si l’on ajoute à cela les balancements intempestifs du train, on ne peut qu’admirer la performance de la petite troupe qui reste relativement stoïque et enjouée. Entre deux coupures, Cauet rappelle que sa visite à Marseille sera aussi l’occasion de lancer le Cauet Burger, au Quick du Vieux Port.

08:30 Cauet a disparu ! Il a en fait quitté le studio pour rejoindre la cabine du conducteur, qui lui offre la possibilité de conduire lui-même le TGV. Et à entendre ses commentaires plus que réjouis, on en vient à se demander si au-delà de l’exploit technique, au-delà du voyage promotionnel, cette escapade n’était pas simplement une occasion rêvée pour l’animateur de jouer avec un train électrique grandeur nature...

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