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The Voice : Olympe, Nuno, Loïs et Yoann aux portes de la consécration

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Rédacteur - Expert TV & Séries
Publié le 18/05/2013 à 20:33

La seconde édition de The Voice arrive à son terme et la finale mettra aux prises, ce 18 mai à 20h55, Yoann Fréget (équipe Garou), Olympe (équipe Jenifer), Nuno Resende (équipe Florent Pagny) et Loïs (équipe Louis Bertignac).

Yoann Fréget

Yoann Fréget en a subjugué plus d’un par sa fragilité, son bégaiement et ses performances vocales appréciables. Le duo avec Emmanuel Dob sur le titre Many Rivers to Cross de Jimmy Cliff, imitant au passage John Lennon avec Harry Nilsson, en est une parfaite illustration. Son interprétation de Whitney Houston avec The Greatest love of all sonnait déjà la première charge des auditions à l’aveugle, forçant les quatre coachs à faire un demi-tour sur eux-mêmes.

Nuno Resende

L’hyperactif Nuno Resende défendra crânement ses chances en finale. Le plus âgé des quatre derniers (39 ans) s’est fait entendre aux auditions à l’aveugle avec le titre Goodbye Marylou de Michel Polnareff. Détenteur d’une bonne cote auprès du public, il est parvenu en finale grâce à sa flamboyante prestation du tube de Calogero, En apesanteur.

Loïs

Loïs, la petite dernière (17 ans) partage presque un prénom, mais surtout une culture musicale accentuée avec son coach Louis Bertignac. La jeune lycéenne cannoise plait au public qui l’a sauvée à plusieurs reprises notamment avec Good bye my lover de Jambes Blunt. Une femme en devenir adulée et pétrie de talent qui ne demande qu’à acquérir sa majorité avec le triomphe de The Voice . Elle s’est hissée en finale avec When I was your man de Bruno Mars. Petit avantage de son curriculum vitae, elle a été la grande favorite de l’émission La France a un incroyable talent .

Olympe

Olympe, favori annoncé depuis quelques semaines a subi un désamour anecdotique en demi-finale puisque sa coach a dû le sélectionner au détriment du public. Surprenant aux auditions avec Born to die de Lana Del Ray, il n’a eu de cesse d’envoûter Jenifer par son aisance. Qualifiant la musique de « thérapie » lui permettant de « vaincre sa timidité », il interprète avec appétit les titres de grandes figures féminines comme Madonna ou Édith Piaf en demi-finale avec Non, je ne regrette rien.