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Les Terriens du Dimanche / Salut les Terriens : Thierry Ardisson prêt à quitter C8 ?

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Rédacteur - Expert TV
Publié le 20/05/2018 à 18:40

Fort du succès de Salut les Terriens , Thierry Ardisson s’est vu confier un deuxième rendez-vous hebdomadaire sur C8. En septembre dernier, l’ex-animateur de Tout le monde en parle a pris les commandes des Terriens du Dimanche , une déclinaison dominicale programmée en access prime time.

Malgré une polémique sur le recrutement de Raquel Garrido et un scandale sexuel secouant Jeremstar, Thierry Ardisson a tenu à prendre la défense de son équipe. « Cette bande de chroniqueurs représente bien la société française : Franz-Olivier Giesbert le bourgeois, Hapsatou Sy la noire qui le revendique et qui n’est pas une Bounty, Gilles-William Goldnadel le feuj sioniste, Monia Kashmire la rebeu hyper moderne, Natacha Polony la souverainiste chevènementiste lookée cuir... », a-t-il confié au Huffington Post. Concernant Jeremstar, qui a été mis en retrait de l’antenne en janvier, le compagnon d’Audrey Crespo-Mara a assuré qu’il serait présent à ses côtés la saison prochaine.

Alors que le canal 8 de la TNT n’a pas encore statué sur l’avenir des Terriens du Dimanche, Thierry Ardisson a lancé ultimatum à la chaîne. « S’il y a une troisième saison de Thierry Ardisson sur C8, il y a une deuxième saison des ’Terriens du dimanche’. Je déteste être pieds et poings liés, c’est pourquoi je signe des contrats à la saison », a-t-il lâché, avant d’ajouter : « Soit j’ai mes deux émissions, soit j’en fais zéro. Ce qui est sûr c’est qu’il n’y en aura pas qu’une ».

L’animateur a dors et déjà prévu de revoir en profondeur Salut les Terriens. Outre un changement de nom, l’émission va subir un liefting puisque la scénographie va être totalement repensée. « Je compte aussi modifier le rythme de l’émission qui est un peu plan-plan, et enfin moderniser la mécanique et le type d’invités. Je pense que ’Salut les Terriens’ est devenu un peu trop une enfilade de people-promo », a-t-il souligné, tout en assurant que ses « invités ne seraient plus affalés sur des fauteuils Louis XVI ringards ».