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Panique dans l’oreillette > Flavie Flament et Jacques Séguéla

Tony Cotte
Publié le 03/03/2010 à 22:15 Mis à jour le 04/03/2010 à 00:42

Frédéric Lopez sur France 2

Pour ce nouveau numéro de Panique dans l’oreillette, les règles changent quelque peu et l’un des invités se retrouve avec une liste de cinq défis à réaliser tout au long de la soirée. La candidate en question n’est d’autre que Flavie Flament et, au vu des missions, dont « Embrasser Frédéric Lopez sur la bouche », autant dire que le zapping est assuré pour l’émission...

Mais d’abord, place aux anecdotes. C’est avec beaucoup d’émotion que Flavie Flament parle de son enfance, notamment sa passion pour les chevaux. Adolescente, celle-ci cachait ses mauvais bulletins de notes derrière un cadre dans sa chambre. Puis, en 1988, elle est élue « Miss OK » aux côtés d’un certain Jean-Luc Delarue qui faisait, ce jour-là, sa première télé. Repérée par Alain de Greef, elle sera la Miss météo de Canal + puis chroniquera auprès de Philippe Gildas qui lui reconnaît un grand « professionnalisme ». Celui-ci en profite pour faire un « happening », au même titre que Frédéric Joly avec lequel l’intéressée présentait Exclusif sur TF1.

Bronzé aux UV toute l’année, Jacques Séguéla, lui, ne supporte pas qu’on le lui fasse remarquer... Selon Frank Tapiro, son ami, il est très branché high tech et change souvent d’avis. Guillaume Durand affirme même qu’il peut défendre Ségolène Royal et voter Nicolas Sarkozy dans la même semaine tout en restant convaincant. Jeune, il a fait le tour du monde sur un bateau avec son copain... Fort de leurs 70 ans d’amitié, celui-ci, Jean-Claude Baudot, lui fait même la surprise de venir sur le plateau. Plus tard, en 1981, Jacques participe aux affiches des campagnes présidentielles des 3 principaux candidats : Valéry Giscard d’Estaing, Jacques Chirac et François Mitterrand avec lequel il a longtemps travaillé.

Au cours de l’émission, Flavie Flament réalise, quant à elle, des interviews de Jacques Séguéla à thèmes : interview-vérité à la manière de Thierry Ardisson ou interview présidentielle où l’animatrice dans le rôle de Laurence Ferrari et Jacques Séguéla celui de Nicolas Sarkozy.

L’invité revient également sur le dîner qu’il a organisé avec Carla Bruni et le Président de la République, ainsi que sur cette phrase qu’il regrette aujourd’hui : « Un homme qui à 50 ans n’a pas de Rolex a raté sa vie ».