Popstars > Semaine 2
Pour cette deuxième semaine, le jury poursuit son casting à Marseille. Une cinquantaine de candidats rescapés de la première étape se retrouvent ainsi devant eux pour une épreuve de chant imposé et de danse libre, dite « free style ». Mais au fil des heures, et face à plusieurs artistes en herbe dont la mémoire fait défaut, les jurés perdent patience. L’enjeu est pourtant important : une place au casting final à Paris, ultime étape avant d’intégrer l’Atelier.
Quelques jours plus tard, 60 prétendants ont été sélectionnés à travers toute la France et se retrouvent à la capitale pour trois jours d’entraînement intensifs. Le niveau monte d’un cran et la pression est plus forte que jamais. Ibtisame, 19 ans, ne parvient pas à retenir les paroles d’Aretha Franklin. « Je n’arrive pas à rentrer dans sa mélodie », s’inquiète celle-ci lors des répétitions en groupe. Prise de panique, la rappeuse quitte les lieux et fait l’objet de moqueries auprès de ses camarades. Chérifa déplore l’attitude des autres filles : « Ricaner ou parler dans l’oreille dès que quelqu’un fait une fausse note, je trouve cela stupide ». Alors, cette dernière décide de donner un coup de pouce à son amie Ibtisame. Même dans la compétition, les candidats savent être soudés !
Delphine, 19 ans, a, quant à elle, été hospitalisée durant la nuit et souffre de calculs rénaux. Le lendemain, elle ne donne pas le maximum d’elle au cours de danse : « Je ne voulais pas me donner à fond et ne pas m’épuiser », confie t-elle. Emeraude, prend alors de son temps pour encourager la jeune fille et lui redonne un peu de moral. Motivée malgré tout, Delphine doit suivre des examens pour savoir si elle peut continuer à suivre les différentes épreuves. « Désormais elle n’a plus son avenir entre ses mains », annonce une voix-off mélodramatique.
Hadja, une des favorites du jury, est cependant très en retard en danse par rapport à ses concurrentes. Pour Nancy, la chorégraphe de l’émission, la candidate n’est « pas encore au niveau, (...) elle n’a même pas les attitudes. Il y a un réel problème d’apprentissage, d’exécution et de feeling. Il y a encore tout à faire avec elle » !
A l’issue de la semaine, Benjamin Chulvanij et ses collègues annoncent les noms des 30 élèves qui vont intégrer l’Atelier.