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Qui veut épouser mon fils ? 2 > Pascale, une nouvelle Marie-France

Publié le 02/11/2012 à 23:30 Mis à jour le 25/04/2013 à 16:03

« On est si près de la réalité quand on dit qu’une mère est prête à tout par amour pour son fils… » Même à se ridiculiser devant les caméras de TF1. Pour cette nouvelle saison de Qui veut épouser mon fils ?, quatre mamans et un papa participent, avec leur progéniture, à l’aventure. Elsa Fayer fait son retour sur le petit écran après l’échec de Carré Viiip pour aider ces parents désespérés. Qui parviendra à succéder dignement à Marie-France ? Qui rencontrera vraiment l’âme sœur par le biais du programme ? Premiers éléments de réponse ce soir…

Pour ouvrir les hostilités, les téléspectateurs font la connaissance de Pascale et Morgan. « Mon fils est un virtuose de l’amour. Il vous fera découvrir la mélodie du bonheur », assure cette première. Au pied de la Tour Eiffel, cette famille issue de l’aristocratie hongroise vit dans un milieu aisé. Morgan est le plus jeune lauréat du conservatoire de Bruxelles. « J’ai été sévère donc il a tout réussi », assure la matriarche particulièrement exigeante. Tout ? Sauf sa vie amoureuse. Pour Pascale, l’exigence est une règle de vie : « J’aime le caviar et pas le pâté de foie en boîte ». Arrivés au château, la mère et son fils rencontrent les prétendantes. Dès la première arrivée, Karen, le tatouage de celle-ci insupporte Pascale. « Elle est moyenne. Elle n’a pas de prestance. Elle n’a pas d’allure », affirme-t-elle. En revanche, face à Lala, une Chinoise « élégante », Pascale imagine la jeune femme dans « l’une de [leurs] soirées ». Il n’en sera pas de même face à une jeune femme au look punk, ni même face à Karine, vue cet été dans L’amour est dans le pré (dont le tournage a eu lieu que bien plus tard).

Autre duo à se présenter aux grilles du château : Chantal et son fils Frédéric. À 37 ans, ce dernier vit toujours sous le même toit que sa génitrice, en Charente-Maritime. Ce garçon sensible, devenu sapeur pompier, penserait tant aux autres qu’il est toujours célibataire. Mais le candidat a des envies de mariage et de fonder une famille. Malgré les tentatives de Chantal, ce dernier n’a toujours pas trouvé l’âme sœur. Pour y remédier, place à un premier examen de passage. Zahra, première prétendante, apprécie le côté humanitaire du pompier et fait même pleurer Chantal après avoir révélé la perte de son père il y a quatre mois. Sylvie elle aussi fait l’affaire pour le binôme, tout comme Sandrine.


Linda et son fils Alexandre arrivent au château. Celui-ci est un jeune cadre commercial, mais vit toujours chez sa mère. « Mon fils, il est magnifique. Il est mince, il ne prend pas de drogue », assure-t-elle. L’insouciance du jeune homme à un prix : supporter l’omniprésence de sa génitrice. « Plus les années passent, plus elle devient envahissante », témoigne-t-il. Place à une mise en scène peu naturelle où la matriarche harcèle l’intéressé par téléphone. Linda s’assume comme « une grande gueule ». C’est pourtant Alexandre qui mène principalement les rencontres et parle beaucoup face aux prétendantes.

Rachel, elle, assure que son fils David est « un petit prince » qui a besoin « d’une princesse », pour vivre « un vrai conte de fées ». A 28 ans, le jeune homme vit en dessous de chez sa mère. Cette dernière passe son temps à s’occuper de son « bébé ». Un amour exclusif parfois étouffant. Rachel cherche « une petite poupée ». Pendant les entretiens, cette dernière prend des photos et des notes dans un carnet. Mais quand elle se décide à parler, c’est pour comparer une des prétendantes à Barbie. « C’est un compliment dans sa bouche », précise David. Ken enchaîne les rencontres avec plus ou moins de succès.

Les derniers arrivants se présentent dans la cour du château. Pour la première fois, l’émission fait la place à un binôme masculin, Serge et Julien. « Je l’aime très tendrement. On partage beaucoup de points communs. J’ai été chargée par sa maman de lui trouver une épouse », explique le patriarche. A 30 ans, le célibataire vit dans la même agence immobilière que Serge. Depuis toujours, c’est la complicité qui les unit. Mais entre ces deux hommes, il existe une vision des relations amoureuses différente. Julien se présente tel un don juan, ce qui a le don d’exaspérer son papa désireux d’être grand-père. Lors des rencontres, Lilou séduit les deux hommes, à l’exception de l’âge de celle-ci, 21 ans, qui semble poser problème au candidat. Angélique, elle, inquiète Serge à ne pas vouloir se marier dans l’immédiat.


Après les rencontres, chaque binôme a la nuit pour faire un choix. Au matin, les mamans rencontrent les prétendantes. Si Chantal se montre chaleureuse, Pascale, elle, dresse la liste de ses exigences. Pour séduire son fils, il faut : être familier avec la musique classique et du milieu bourgeois ou encore savoir écrire le français sans faute d’orthographe. De quoi faire grincer quelques dents. Quelques heures plus tard, place à l’annonce des résultats. Quand vient le tour de Pascale et Morgan, le nom de Karen est avancé. Mais que les choses soient claires : la matriarche ne veut pas d’elle et a dû abdiquer. Inutile de préciser que la jeune femme sera surveillée de près. Quant à Linda et Alexandre, le choix a été cornélien puisque celle-ci ne voulait tout simplement aucune des filles !

Les cinq hommes peuvent passer leur première soirée sans parent. Avec Morgan, rendez-vous est pris sur un bateau sur la Seine. Au menu : « luxe, calme et volupté ». Bien sûr, le pianiste joue de son instrument. Ce que celui-ci ignore c’est que Pascale a décidé d’espionner, depuis un petit bateau, sa progéniture à l’aide d’une paire de jumelles. Chantal n’apprécie guère que Karen se situe trop près de son fils.

En plein cœur de Paris, dans un loft privé avec piscine, Alexandre reçoit ses prétendantes toutes en bikini. « Sur six filles, je me suis rapprochée de trois ou quatre », assure-t-il a posteriori. Pendant ce temps, Linda est inquiète : « Le soir quand je me couche, je ne pense qu’à lui. Connaissant mon fils, j’ai peur. Un mec qui est coureur n’est pas sérieux. » Forcément, depuis la piscine et avec la musique, le jeune homme n’a pas accès à son portable.

À Montmartre, Frédéric propose une soirée guinguette et bal musette à ses prétendantes. L’occasion de se rapprocher de « la charmante Cindy » lors de quelques danses. Puis, lors du repas, les deux tourtereaux font plus amples connaissances. « Dans le regard de Cindy, on voit qu’elle cherche l’amour intense. On va dans le même sens tous les deux. C’est l’étincelle. Sans dire un mot, on se comprend. C’est un petit coup de foudre », assure Frédéric. Bien sûr Chantal trouvera à redire dès la semaine prochaine pour cause d’une jupe trop courte.