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Qui veut épouser mon fils : à la rencontre de Giuseppe et Marie-France

Aurélie Demarcy
Publié le 26/10/2010 à 19:13

Ils passent encore inaperçus dans les colonnes des magazines, mais tout laisse à penser que le binôme mère/fils made in Italie : Giuseppe et Marie-France, risque de faire parler de lui, suite à la diffusion de Qui veut épouser mon fils sur TF1. En attendant de découvrir les premières images du programme, ce vendredi 29 octobre, Télé Star est parti à la rencontre de ce binôme qui, au risque de choquer les féministes, affiche sans fard ses positions « réactionnaires ».

De fait, lorsque Giusepppe, 39 ans, est interrogé sur l’authenticité de son comportement de macho, la réponse ne se fait pas attendre : « C’est 100% naturel. Ma mentalité est celle d’un Italien calabrais des années 60 ». Et loin d’en rester là, Giuseppe, qui est amené à se justifier sur sa non-croyance en l’égalité entre hommes et femmes, a le « courage » de ses convictions : « Mais c’est vrai enfin ! Chacun doit rester à sa place. Pour moi, une femme doit être belle et savoir s’occuper de son intérieur. Il faut qu’elle sache se taire... Comme ma mère ! »

Des propos que la génitrice en question ne se contente pas d’approuver, mais qualifient de salvateurs, quant à l’équilibre du couple : « Mon fils appartient à une espèce en voie de disparition. Si les hommes savaient tenir leur femme, il n’y aurait pas tant de divorces, croyez-moi ! »

Aussi, le célibataire en quête de la femme parfaite (peu importe d’ailleurs que la perfection ait eu besoin de l’aide d’un bistouri) admet l’importance de la présence de sa mère, tout au long du programme, avant de conclure : « Mais entre nous, j’ai l’impression qu’elle ne veut pas que je la quitte ! ». Une situation qui ne semble déplaire à ce Tanguy confirmé : « Ma mère me prépare à manger, fait mon lit, repasse mes chemises... Je serai bête de partir, non ? »

Enfin pour Marie-France, sa participation au programme lui aura laissé des souvenirs de « grands éclats de rire ». Et de conclure : « J’espère d’ailleurs que les gens s’amuseront en nous regardant. » Il y a fort à parier que la réponse sera positive...