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Thomas (Pekin Express 2019) : « Avec Mathieu, on redoute particulièrement Laetitia et Aurélie »

Andy Andrian
Publié le 05/09/2019 à 20:01

Avec son frère Mathieu, Thomas est qualifié pour les quarts de finale de Pekin Express ce 5 septembre 2019. Le candidat revient sur les moments forts de son aventure, notamment, ses deux duels finales et ses relations avec les sœurs Laetitia et Aurélie.

Andy Andrian : À l’entrée des quarts-finales, avez-vous eu des appréhensions concernant la suite de votre aventure, notamment après avoir survécu à deux duels finaux ?

Thomas : À ce stade de l’aventure, on a déjà beaucoup donné, il n’y a donc plus beaucoup d’appréhensions. On a fait un parcours magnifique et on en est très fiers. À partir de maintenant, c’est que du bonheur et que du bonus. Avec Mathieu, on a envie de savourer chaque instant sans oublier de tout donner.

Dans les binômes restants, avez-vous redouté un binôme en particulier ?

On redoute plus particulièrement les sœurs Laetitia et Aurélie, étant donné leurs aptitudes dans le domaine de l’auto-stop. Mais bien évidemment, tous les binômes encore présents sont très forts et méritent amplement leur place. Tout peut arriver dans Pékin Express et malgré les qualités de chacun, on n’est jamais à l’abri d’un pépin ou d’une journée galère à l’image de Fabrice et Briac dans la première étape en Colombie.

La semaine précédente, vous avez eu un handicap en faisant votre parcours aux côtés d’Angelica, une vendeuse de fruits. Comment cela vous a-t-il ralenti ?

Le handicap a surtout été d’un point de vue numérique. Par exemple, au lieu de trouver une voiture pour deux, on a dû en trouver pour trois. La stratégie est donc différente et apporte quelques complications supplémentaires. Malgré cela, je garde un souvenir magnifique de nos instants avec Angelica. Elle s’est vraiment surpassée pour nous permettre de briller dans la compétition. En réalité, c’était un handicap au niveau de la course mais nous aurions pu faire face à bien pire.

« Avec Mathieu, on a envie de savourer chaque instant sans oublier de tout donner »

Quel a été votre ressenti au moment de votre défaite en duel finale face à Mounir et Lydia le 22 août dernier ?

Personnellement je me suis dit, « Pékin Express c’est terminé ». Je ne m’attendais pas du tout à avoir une enveloppe non éliminatoire. En tant que compétiteur, j’ai accepté ma défaite dans un duel où j’ai été moins performant que Lydia. Ensuite, le fait de voir l’enveloppe noire nous sauver m’a mis les larmes aux yeux. C’était un sentiment très spécial, car on a le droit à une nouvelle chance tout en ayant l’opportunité de découvrir la Colombie.

Comment avez-vous abordé votre deuxième duel final face à Briac et Fabrice ?

J’avais à cœur de me rattraper par rapport à mon échec précédent. Je voulais faire plaisir à Mathieu et Angelica. J’ai tout donné. Surtout, je me suis inspiré d’une phrase de Stéphane Rotenberg disant « Rien n’est jamais fait dans Pékin Express ».

Dans le numéro du jeudi 15 août, vous continuez votre périple en Colombie en découvrant les territoires autour de la Cordillère des Andes, que retenez-vous de ces lieux ?

La Colombie est un pays rempli de paysages magnifiques. On a essayé de profiter au maximum de tout cela puis dans le même temps, on a fait notre possible pour remplir notre mission. Notre principale difficulté a été de faire du stop, car là-bas, peu de personnes ont l’habitude de s’arrêter.

« Les affinités se sont créées sans trop de raisons »

Pouvez-vous nous expliquer vos relations avec Laetitia et Aurélie ?

Au cours de l’aventure, on a eu plusieurs possibilités de se rapprocher de Laetitia et Aurélie. On partage plusieurs choses en commun comme le fait d’être droit lors d’une compétition. C’est notre binôme préféré dans les candidats restants, même si on s’entend très bien avec tout le monde. Avec les sœurs, c’est différent, car les affinités se sont créées sans trop de raisons.

Quel a été votre moment le plus fort avant votre entrée dans les quarts de finale ?

Ma victoire en duel final contre Briac et Fabrice est vraiment mon moment le plus fort. Notamment, j’ai été très touché de voir mon frère être fier de moi. Son expression faciale lors de mon arrivée est une image marquante.

Quel bilan tirez-vous à ce moment de l’aventure ?

On a galéré depuis le début. Malgré ça, on est toujours passés et on a su rester soudés. Au final, rien n’est jamais fini dans Pékin Express, car « tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir ».