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Vanessa Demouy (Demain nous appartient) : « Pourquoi Rose est de retour sur TF1 »

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Rédacteur - Expert TV
Publié le 30/11/2018 à 16:42

Cet été, TF1 a reformé le couple culte de Dolmen à travers Demain nous appartient . Héroïne de la série quotidienne de la chaîne privée, Ingrid Chauvin a été rejointe par Bruno Madinier. Le comédien, connu pour son rôle dans Les Cordier, juge et flic, a campé le personnage de Raphaël aux côtés de Vanessa Demouy, interprète de Rose.

En prison depuis la mort de Raphaël, Rose vient de signer son grand retour dans l’intrigue de Demain nous appartient. Elle est hospitalisée dans l’établissement de Marianne, car elle est convaincue que son bébé est en danger. Samuel est sur le point de lui révéler la maladie dont elle souffre. Dans un entretien accordé à Télé Loisirs, Vanessa Demouy a confié qu’elle allait apparaître sur quelques épisodes avant Noël. « Quand la production m’a demandé de revenir, j’ai accepté avec enthousiasme. Cela signifiait en effet que mon personnage avait plu, que le public avait adhéré à mon travail, tout comme la chaîne et la production. C’est très gratifiant. Après, Il faut trouver un bel écrin à ce personnage merveilleux qui, pour revenir, doit s’intégrer à une histoire, une intrigue qui s’y prête », a-t-elle expliqué.

D’abord approchée pour un autre personnage, Vanessa Demouy est revenue pour 20 minutes sur l’attachement du public pour Rose Latour. « Ça a été crescendo avec Rose. D’abord, elle n’a pas été très appréciée. Puis, les gens ont été intrigués. Et au fur et à mesure, les téléspectateurs se sont énormément attachés à ce personnage », a-t-elle souligné. Interrogée sur le succès des trois feuilletons quotidiens Demain nous appartient, Plus belle la vie et Un si grand soleil, l’actrice a estimé que le public apprécie d’avoir des rendez-vous qui donnent un côté routinier. « Je crois que ce qui plaît ce sont les sujets évoqués. La télé a beaucoup évolué à ce niveau-là. Ce sont des feuilletons qu’on regarde en famille et qui évoquent des problèmes du quotidien. On a parfois du mal à les aborder en famille parce que les parents ou les enfants n’osent pas », a-t-elle conclu.