66 Minutes > 03/09/2008

Aïda Touihri et les équipes de 66 Minutes sont de retour sur M6. A cette occasion, le magazine reste en première partie de soirée mais se voit déplacé au mercredi. A l’occasion de ce retour à l’antenne, l’émission revient sur son été passé « dans la cité ».

Alors que près d’un Français sur deux n’est pas parti en vacances, les équipes de 66 Minutes ont ainsi passé l’été à Sarcelles, l’une des plus grandes ZUP de France. Le 14 juillet, la scène est hallucinante mais ne semble plus étonner les riverains : des dizaines de jeunes se livrent des « batailles de feux d’artifices », à coups de fusées. Puis ils incendient des voitures, provoquant l’intervention des policiers armés de fusils « flash-ball ». Sarcelles, Villiers le Bel, Garges les Gonnesses : dans ce « triangle », l’été est une période difficile. Le taux de délinquance y est l’un des plus forts de région parisienne !

Puis, place à une autre période difficile, cette fois-ci en Géorgie.
Vladimir, 29 ans, jeune gouverneur géorgien de la ville de Gori, assiste impuissant à l’occupation par les troupes russes. Sur leurs chars : du matériel électroménager ou encore des meubles, sans doute pillés après les combats. Les civils terrés chez eux tentent de survivre dans une ville fantôme coupée du monde. Comme Marina et son mari, qui sont revenus dans leur appartement dévasté par les bombardements pour tenter de récupérer quelques meubles encore intacts...

Dans un registre plus léger, 66 Minutes revient sur « la razzia française aux USA ». En effet, jamais les vacances à New York n’avaient été aussi bon marché que cet été ! La raison : le cours du dollar face est très faible et des centaines de milliers de touristes français ont choisi de partir quelques jours dans la « Grosse Pomme » pour visiter et faire du shopping. Vêtements, chaussures, appareils photos ou baladeurs numériques : ces vacanciers sont rentrés en France les valises pleines de bonnes affaires. Certains en ont même fait un petit business, achetant à New York et revendant à Paris. Mais à l’aéroport, les douaniers sont aux aguets !