66 Minutes > 21/01/2009

Quelques jours après la naissance de la fille de Rachida Dati, 66 Minutes mène l’enquête sur les « nouvelles mamans », à savoir celles qui donnent naissance à leur premier enfant après 40 ans.

L’occasion d’évoquer également les cas de Nicole Kidman ou encore Marcia Cross, la célèbre Bree de Desperate Housewives. En effet, ces célébrités qui affichent fièrement leur maternité tardive, sont le reflet d’un mouvement de fond. En France, le nombre de grossesses après 40 ans a triplé ces 20 dernières années. La volonté de faire carrière avant d’avoir un enfant semble ainsi être la raison principale à toutes ces femmes. Mais si certains parlent de « bain de jouvence », accoucher en tant que quadragénaire n’est pas bénin. Ainsi, à cet âge, les femmes n’ont plus la même vitalité qu’avant et les risques de trisomie ou de décès en couche sont démultipliés. Pour réussir à tomber enceinte, ces femmes doivent même parfois faire appel des technologies médicales coûteuses, comme le don d’ovocytes.

Au lendemain de l’investiture de Barack Obama en tant que nouveau Président des Etats-Unis, les équipes de M6 ont décidé d’enquêter sur l’élite noire française. Ils sont députés, chefs d’entreprise ou cadres supérieur, et font encore figure d’exception. Alors que, selon les estimations, ils représentent 5% de la population, les Noirs sont largement sous-représentés dans l’establishment français. Mais gravir les échelons dans certains milieux peut s’avérer compliqué avec la discrimination. L’occasion, pour ceux qui ont réussi, de tenter de faire évoluer les mentalités...

En revanche, face à la crise immobilière, de nombreux français sont démunis, quelle que soit l’origine. Pour les agents immobiliers, la situation serait même plus grave. En effet, avec la flambée des prix, les professionnels gagnaient très bien leur vie, mais la roue a tourné et aujourd’hui « c’est la débandade ». Plus d’une agence sur trois devrait fermer d’ici l’été prochain ! Pour ceux qui restent, c’est la guerre des nerfs avec des « acheteurs rares et pas commodes », sans évoquer les vendeurs toujours prêts à « rechigner pour baisser les prix ».