Capital > Les nouveaux business du plaisir

Sites de rencontres, préservatifs « fun et ludiques », ou médicaments « miracle » : la recherche de la volupté n’a jamais autant fait vendre. Retour avec Capital sur les nouveaux business du plaisir.

Avec près de 15 millions de célibataires en France, les sites de rencontres sur internet génèrent aujourd’hui un énorme business. Mais sur l’ensemble des leader du marché, l’un d’eux utilise une méthode des plus douteuses pour accrocher le client et retenir les 300 insatisfaits quotidiens en faisant passer des employés dans les pays pauvres pour votre prochaine dulcinée !

Il y a quelques temps encore, c’était un objet qui servait uniquement à se protéger. Avec la montée du sida dans les années 80, le préservatif est devenu un emblème de la lutte contre cette maladie. Aujourd’hui il est vendu comme un véritable gadget. Et comme tous géants sur un marché, une véritable guerre commerciale se livre pour convertir le consommateur à leur nouvel objet de plaisir.

Le viagra, remède supposé contre l’impuissance est, quant à lui, l’un des médicaments les plus connus au monde. Rien qu’en France, 40% des hommes affirment avoir déjà eu des manifestations d’impuissance. Problème, ce médicament est cher et non remboursé par la sécurité sociale. Résultat, des milliers de sites internet proposent sans cesse des pilules miracles à prix cassé...

Enfin, dans ce business de la séduction, les dessous ne se cachent plus. Désormais toutes les grandes marques de luxe se mettent à la lingerie chic, du string au soutien-gorge. En France, une femme dépense , pour ce budget, en moyenne 100€ annuel, contre 10 € de plus outre-Manche. Mais certaines marques n’hésitent pas à facturer jusqu’à 600 € la pièce !