Cécile de Ménibus (Intervilles) : « Je ne suis pas sûre d’être une valeur ajoutée pour lancer des plateaux »

Prochainement, Intervilles revient sur Gulli. Si la date du lancement de l’émission reste encore incertaine, les tournages ont d’ores et déjà eu lieu. A Budapest, les équipes de Mistral ont mis en boîte les émissions de cette version internationale. A la présentation, la chaîne jeunesse a choisi Joan Faggianelli et Cécile de Ménibus.

Avant l’arrivée du jeu sur la grille de Gulli, l’animatrice a accepté de revenir sur cette expérience inédite dans les pages de TV Magazine. Depuis la fin de l’aventure Cauet sur TF1, Cécile de Ménibus s’est faite plus rare sur les écrans, entre TF6 et Direct 8. Elle revient sur cette période et explique : « Depuis pas mal de temps, on me propose des choses qui me conviennent pas du tout. Du coup, je me suis mise un peu en retrait en me disant : c’est pas possible, quand va-t-on me proposer quelque chose de sympa, de drôle, de léger ? »

Au cours de cet entretien, Cécile de Ménibus tient à faire la différence entre « présentation » et « animation », « l’un n’est pas plus intéressant que l’autre, mais ce sont deux métiers différents ». Elle juge à son sujet. « Je suis une baroudeuse, une animatrice « cascade », j’ai toujours été habituée aux directs, aux interviews, aux imprévus. Je ne suis pas sûre d’être une valeur ajoutée pour lancer des plateaux. C’est une erreur de casting. »

En arrivant sur Gulli, l’ancienne complice de Cauet semble avoir retrouvé une place sur l’échiquier de la télévision. « Être animatrice pour Gulli a déclenché des choses chez d’autres gens. C’est hallucinant, car cela a aussi été le cas de Benjamin Castaldi avec Tahiti Quest. Mais ces propositions sont loin d’être abouties ».