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Combien ça coûte, l’hebdo > 07/06/2009

Tony Cotte
Publié le 07/06/2009 à 17:50 Mis à jour le 09/06/2009 à 22:36

Jean-Pierre Pernaut et Justine Fraioli sur TF1

Combien ça coûte, l’hebdo a l’habitude de traiter de l’argent « sous toutes ses coutures ». En ce dimanche, c’est sous celles des robes de mariée que le magazine enquête. En partant du postulat que le « mariage est le jour le plus cher dans une vie », l’émission dévoile les techniques pour économiser. Il faut dire, les français dépensent en moyenne 12 000 euros pour l’heureux événement.

Il n’est cependant pas obligatoire de mettre le prix pour que la journée soit à la hauteur. Vincent et Natasha le prouvent en faisant sponsoriser leur mariage. Via le site internet dédié à leur union, les deux tourtereaux vendent des espaces publicitaires à des professionnels en échangent de services. De cette manière, le couple a pu obtenir 100 bougies parfumées, l’orchestre le jour de la cérémonie et le coiffeur offerts. Pour développer l’attrait du site internet, le binôme a tout prévu, jusqu’à miser sur l’interactivité en faisant choisir des éléments du mariage par les internautes, telle la couleur des faire-part. Grâce à ce support, Natasha a également pu obtenir sa robe à un tarif très préférentiel : 300 € seulement !

Pour les néophytes en marketing et communication, il existe d’autres solutions pour économiser sur sa robe de mariée, en commençant par l’acheter d’occasion. Quant aux moins matérialistes, elles peuvent même la louer.

« Que diriez-vous Jean-Pierre d’un petit plaisir régressif ? » Non Justine ne fait pas une proposition indécente à son co-animateur, mais enchaîne simplement par un reportage sur « le folie des bonbons ».
Un marché colossal de 200 millions d’euros méritait bien ça... Pour savoir à qui profite un tel business, les caméras de TF1 ont suivi Jean-Philippe André, président du directoire de Haribo France dans les visites du « temple secret du bonbon », à savoir son lieu de confection, à Uzes.

Si les ingrédients sont toujours les mêmes (colorant, sucre, gélifiant et arômes), il existe 300 espèces différentes de bonbons. La meilleure vente de la marque ? La fraise tagada bien sûr avec 1 milliards d’unités vendues chaque année. Pour les confectionner, l’enseigne a investir dans une centrifugeuse d’une valeur de 300 000€. Un investissement rapidement amorti quand on sait que la fraise représente, à elle seule, 10% du chiffre d’affaires d’Haribo.