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Combien ça coûte, l’hebdo > 14/03/2010

Tony Cotte
Publié le 14/03/2010 à 17:25 Mis à jour le 15/03/2010 à 22:19

Jean-Pierre Pernaut et Justine Fraioli sur TF1

Malgré la météo peu clémente de ces derniers jours, Combien ça coûte, l’hebdo ouvre son nouveau numéro par un sujet sur la tempête Xynthia. La semaine dernière, celle-ci a, en effet, a balayé la Vendée et la Charente Maritime. Grandes marées et vents violents ont rompu les digues et déferlé sur les habitations. Des villages engloutis, des maisons inondées. Bilan : 53 morts. Et financièrement, angle principal de reportage, la facture est salée : plus d’1.2 milliard de dommages à rembourser pour les assurances.

Xynthia n’est pas la première tempête à ravager le territoire. Tous les Français se souviennent de la catastrophe de 1999 : 6.9 milliards d’euros de dégâts. 11 ans après, certaines familles, en plus de perdre leur maison, n’ont pas été entièrement indemnisées par leurs assurances. Plus récemment, en août 2008, une « mini tornade » a rasé la petite ville ouvrière de Hautmont dans le Nord. 1 an et demi après, les habitants vivent encore dans les mobil home précaires. Les assurances se font désespérément attendre.

Crise oblige, les Français sont de plus en plus nombreux à fréquenter des salons de coiffure d’un nouveau genre : ils s’appellent T’chip coiffure, Self’Coiff ou encore CoiffandCo... Leur concept : se faire couper les cheveux à moins de 20 euros ! Tout est fait pour gagner du temps et de l’argent : formations des coiffeurs pour couper en un temps record, plus de prise de rendez-vous ni de service d’accueil et pour les enfants ce sont mêmes les parents qui effectuent le shampoing ! Face à cette concurrence, les enseignes classiques sont obligées, à leur tour de casser les prix. Enquête jugée « décoiffante » par le binôme du magazine dominical toujours aussi adepte du jeu de mots...

La Crazy Horse, le Lido, le Moulin Rouge... Des noms qui font rêver des millions de touristes. Mais ce que les spectateurs ignorent c’est que derrière ces plumes et ces paillettes, une véritable industrie. Le Moulin Rouge passe ainsi 240 000 bouteilles de champagne par an. Sans compter la centaine d’artistes, 60 danseuses, 1000 costumes, 350 personnes, 600 000 spectateurs : c’est une véritable usine qui génère chaque année 42 millions d’euros de chiffre d’affaires !