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Combien ça coûte, l’hebdo > 31/01/2010

Tony Cotte
Publié le 31/01/2010 à 17:50 Mis à jour le 01/02/2010 à 08:35

Jean-Pierre Pernaut et Justine Fraioli sur TF1

Cette semaine c’est l’événement dans le monde de la mode avec les défilés Haute Couture. En France, seulement 11 maisons détiennent ce label « prestigieux ». Chanel, Dior ou Givenchy font partie de ces élus et dépensent des millions pour réaliser leurs collections et organiser leurs défilés. Depuis trois ans, le couturier Christophe Josse n’a qu’un objectif : rejoindre ce club très fermé. Après avoir travaillé pour de grands noms de la mode, il a lancé sa propre maison grâce à l’aide de fidèles clientes. Cette année encore, il défilera comme « membre invité » avec la ferme intention de devenir membre permanent. Et il s’est donné les moyens : un budget de 600 000 euros pour réaliser sa collection.

Quelques minutes plus tard, Combien ça coûte, l’hebdo reviendra sur la thématique du paraître avec « le succès des instituts de beauté au masculin ». On connaissait les cosmétiques pour hommes, les blogs beauté spécial mâle, aujourd’hui de nombreux instituts exclusivement réservés à la gent masculine sont ouverts. Des soins du visage aux massages en passant par l’épilation du torse ou des oreilles, il n’y a que l’embarras du choix. Dépense moyenne dans le salon où le magazine dominical de TF1 a posé ses caméras : entre 50 et 80 euros par client. Et quand la magie des crèmes ne fait plus l’affaire, certains hommes sont prêts à aller encore plus loin avec la médecine esthétique. En effet, ils sont de plus en plus nombreux à être tentés par les injections d’acide hyaluronique pour combler les rides, le tout pour une dépense moyenne de 400 à 800 € par séance.

Entre ces deux sujets, Combien ça coûte, l’hebdo a également misé sur un reportage un brin moins glamour avec « L’éolienne, le vent de la discorde ». Aujourd’hui les éoliennes produisent en France seulement 1% de l’électricité totale, mais l’objectif d’ici 2020, c’est qu’elles en fournissent plus de 10%. Si près de 2500 éoliennes sont déjà installées sur le territoire, 8000 sont prévues dans 10 ans. Mais ces moulins à vent d’un nouveau genre ne font pas le bonheur de tout le monde. Au Lévézou, souffle un vent de discorde. Sur ce plateau a été créé un des premiers parcs éoliens de France. Les agriculteurs au départ partants ont été payés 2000 à 3000 euros par an pour permettre l’installation sur leurs terres. Aujourd’hui ils s’en mordent les doigts : les terrains sont invendables et les machines trop bruyantes. Certains accusent même les éoliennes de causer des problèmes de santé : tension, migraine, insomnies...