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Drucker, Bern, Pujadas : cancres à l’école, stars à la télé

Aurélie Demarcy
Publié le 15/09/2010 à 17:28

Alors que les bambins, sac au dos, ont repris le chemin des classes, le magazine Télé 7 jours s’est amusé à fouiller dans le passé scolaire de quelques figures du PAF. Avant de briller sous la lumière des projecteurs, certains se réchauffaient près du radiateur...

En tête de liste, Michel Drucker. Le célèbre animateur affirme : « Ma scolarité fut une vraie souffrance ». Considéré comme « le cancre de la famille », l’intéressé a de quoi développer des complexes puisque ses deux frères, sont les exemples parfaits d’une scolarité des plus brillantes. Malgré les efforts déployés, Michel Drucker fait un blocage, redouble sa seconde, ne décroche pas son bac, ni son brevet de sténodactylo : « Mon bac et mes universités, ce furent la télévision ».

De son côté, « Le bouffon du roi » alias Stéphane Bern, ne le cache pas : « Je pompais intégralement sur [mon meilleur ami] pour toutes les matières scientifiques ! » Seul hic à cette stratégie bien ficelée, Stéphane Bern, inscrit au bac scientifique au Lycée Carnot à Paris, doit faire sans son comparse le jour de l’examen : « Et là ça s’est vu que j’avais pompé pendant toute ma scolarité : j’ai eu 4 en maths et 4 en physique. »

Enfin, sous ses airs d’intellectuel né, le présentateur du 20 heures de France 2, David Pujadas, n’a pas non plus effectué le parcours scolaire d’un élève modèle : « Je me suis perdu dans les maths, une jungle où je ne distinguais ni le nord, ni le sud (...) Le français, ce n’était pas mieux » déclare le journaliste, ne cachant pas non plus son côté dissipé : « A l’issue d’un pari stupide, en seconde, je suis arrivé en classe en caleçon. J’ai été renvoyé trois jours. » Néanmoins, et malgré une aversion affichée pour les études, David Pujadas va finir par y prendre goût en intégrant Sciences-Po.