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James van der Beek revient sur sa carrière post-Dawson

Tony Cotte
Publié le 27/09/2012 à 13:38 Mis à jour le 27/09/2012 à 14:35

À l’occasion de la sortie de son nouveau film Backwards, James van der Beek a accordé une interview au New York Magazine. L’occasion pour l’acteur de revenir une nouvelle fois sur la réunion Dawson dans sa nouvelle comédie Don’t trust the B___ in apartment 23, ainsi que sur sa carrière...

Au cours de la deuxième saison de la comédie d’ABC, les téléspectateurs pourront retrouver Busy Phillips aux côtés du héros. James van der Beek explique ainsi les conditions de cette rencontre entre les deux acteurs de Dawson : « Les scénaristes sont tous des grands fans de Busy et ils m’ont informé des idées qu’ils avaient pour la faire venir dans la série. La première chose que j’ai faite a été de l’appeler personnellement, car nous sommes amis. Je l’ai avertie de la proposition qu’elle allait recevoir. Je lui ai dit que si elle ne voulait pas le faire, je pouvais comprendre, mais qu’on aimerait vraiment qu’elle accepte. Elle est finalement venue et a été hilarante . »

Sur son expérience dans la série culte de la fin des années 90, James van der Beek semble aujourd’hui avoir beaucoup de recul : « Faire partie de quelque chose comme Dawson’s Creek est un sentiment que peut-être seules cinq ou six personnes dans le monde peuvent comprendre. Non pas que ça a été difficile, travailler dans les mines est difficile, tout comme être soldat. Mais être impliqué dans un phénomène qui a eu un tel impact... C’est le genre d’expérience qu’il est impossible de mesurer. »

Quand le New York Magazine revient sur le cas Penn Badgley, alors en pleine phase de réflexion quant à la suite de sa carrière post-Gossip girl, l’interrogé est prié de faire part de ses conseils. « Une part de moi a envie de dire de ne pas prendre de repos aussi longtemps que je l’ai fait. Mais j’ai également envie de dire que ça a été la plus belle chose au monde pour moi. Je ne suis pas en prison. J’en suis sorti sain et sauf. Mon conseil serait donc de faire ce que l’on a envie de faire et ce que l’on a besoin de réaliser pour soi-même lors des deux prochaines années », conclut-il.