Kevin Bacon : « Following est davantage un thriller qu’une série d’horreur »

Depuis déjà deux semaines, TF1 diffuse la saison 1 de Following. Programmée en deuxième partie de soirée en raison de son caractère violent, la série américaine enregistre des performances satisfaisantes, sans atteindre des records. Mardi dernier, 1.2 million de Français ont suivi les deux épisodes de la soirée, pour 20.4% du public (et 27% auprès des ménagères), des scores en retrait par rapport au lancement.

Dans les colonnes de Télé Câble Sat, Kevin Bacon revient sur sa rencontre avec Kevin Williamson, la raison principale qui l’a poussé à franchir les portes des studios de télévision, au détriment du cinéma. « Quand j’ai discuté de la série avec lui, j’ai compris qu’il savait ce qu’il faisait. Contrairement au cinéma, où le réalisateur est le patron, dans une série, c’est le scénariste qui compte, c’est lui qui décide ».

L’acteur explique par ailleurs que la violence de Following, qui empêche TF1 de programmer la série en prime time, ne l’a pas fait hésiter : « Following est davantage un thriller qu’une série d’horreur qui traite de tueurs en série ».

Ce mardi 11 février, la série continue à partir de 23h30, avec « La Vallée de l’angoisse » et « Ne pariez jamais votre tête au diable ». Dans le premier épisode, Joey échappe à la vigilance de ses ravisseurs, Emma, Paul et Jacob. Il parvient à téléphoner à sa mère, à qui il décrit la ferme où il est retenu prisonnier. Les enquêteurs le localisent dans le comté de Dutchess…