L’Amour est dans le pré 6 > Des premiers choix ambigus

En ce troisième jour de vie à la ferme, Jean-Claude, qui ne cache pas sa préférence pour Bénédicte, est rejoint par Maud sur son lieu de travail. Suite à la demande de son hôte, l’apprentie agricultrice se met à la traite des vaches. Une initiative ne laisse pas l’intéressé indifférent. Celui-ci se met alors à la questionner sur une potentielle vie à deux. Des questions qui ne déplaisent pas à l’intéressée prête à l’accueillir chez elle...

En ile et vilaine, les deux prétendantes de Loïc se mettent au travail et l’ambiance est à la bonne entente, contrairement aux petites frictions de la veille. Aussi Loïc souhaite-t-il passer un moment seul avec Marie. Un tête-à-tête au cours duquel l’agriculteur, peu habitué à se livrer sur ses sentiments, parle travail et en profite pour donner un cours de conduite de tracteur Marie, puis à Véronique.

Chez Didier, le viticulteur, c’est jour de marché ! À l’aube, Didier vient chercher les filles pour qu’elles l’accompagnent vendre ses fruits et légumes. Habitué et secondé par sa mère, Didier ne laisse pas beaucoup de marge de manœuvre à ses convives, ce qui ne manque pas d’agacer Marie... Plus tard dans la matinée, Didier s’isole avec Aurora et lui confie son attirance pour elle, mentionnant apprécier son « côté discret ».

Suite aux critiques de Mélissa et Christelle qui avaient reproché à Mathieu son manque d’implication, ce dernier leur présente, dès le lendemain, ses plus plates excuses : « même si je ne vous ai pas beaucoup parlé, je vous ai observé » confesse Mathieu. Raison pour laquelle, le jeune homme, décidé à leur prouver sa bonne foi, leur propose une journée détente. Direction la maison du meilleur ami de l’agriculteur. Une fois attablées avec les amis de Mathieu, les filles répondent aux questions de son entourage. Et si les citadines affirment que le métier de Mathieu n’est pas le leur, celles-ci sont formelles, elles cherchent le grand amour ! Des confidences que Mathieu, heureux d’entendre de telles explications, n’aura pas eu besoin de provoquer...

Du côté de chez Benoit, celui-ci décide d’emmener Sabrina, avec qui il a entamé une relation, et Géraldine au restaurant. Mais peu de temps avant de partir, Sabrina apprend que sa fille est souffrante et qu’elle devra écourter son séjour. Effrayée à l’idée que Géraldine reste jusqu’à la fin avec son bien-aimé, sa concurrente s’isole avec son bien-aimé et tente de se rassurer sur les intentions de ce dernier.

De retour chez Jean-Claude, Maud qui a passé un moment avec l’éleveur retrouve Bénédicte, en pleine interrogation : « Je t’avoue que je me suis posé la question de faire mes valises » confie-t-elle. Une discussion vite stoppée par l’arrivée de Jean-Claude qui, de son côté, semble de plus en plus proche de Maud. Ce dernier ira même jusqu’à lui demander de revenir avec ses enfants pour le lundi de Pâques...

Dans l’Hérault, l’ambiance est toujours électrique entre Marie et Aurora. En plein déjeuner, Marie, s’interrogeant sur la nature d’un « arbre », déclenche les fous rires de Didier et de sa rivale puisque l’arbre en question n’est autre qu’un parasol. Une bonne occasion pour Aurora de se venger indirectement de sa compagne d’aventure avec qui elle entretient un certain rapport de rivalité.

Chez Benoit, une activité de montagne à savoir un tour de moto neige attend les filles. Et si Benoit avait prévu de faire une escapade avec chacune de ses prétendantes, Sabrina, qui n’en finit pas d’être jalouse, insiste pour que le trio monte ensemble sur la moto neige. Mais alors qu’elle est à l’origine de cette situation, Sabrina reproche à Benoit de mal conduire. Une attitude qui pourrait bien finir par lasser Benoit ?

En Bretagne, Loïc fait de gros efforts pour montrer à Marie et Véronique qu’il s’intéresse à autre chose qu’à son travail : un tour de calèche attend donc les filles. Et si pour ces dernières, l’activité est des plus ludiques, pour Loïc, l’enjeu est tout autre : il souhaiterait faire sa déclaration à la prétendante choisie. Aussi après avoir scellé un pacte d’amitié avec Marie, Loïc avoue sa flamme à Odile en lui donnant un baiser timide. « J’ai trouvé la perle rare » avoue-t-il.

Cap sur la foire aux bestiaux en Normandie chez Jean-Claude. Ce dernier, en bon enfant du pays, est accueilli chaleureusement par l’organisateur et micro à la main, présente Maud et Bénédicte à la population. Venu avec deux vaches pour les vendre, Jean-Claude laisse le soin à ses prétendantes de les présenter. Une mission des plus insolites que ces dernières acceptent avec le sourire. Le soir venu, direction le « dancing ». Avant de partir, Maud qui s’est sensiblement rapprochée de Jean-Claude appelle ses enfants pour leur faire part de son bonheur, et ne manque pas de passer Jean-Claude à ses chérubins. Déjà en retard pour leur soirée dansante, les plombs du chauffage sautent chez Jean-Claude qui, obligé de sortir de sa douche encore mouillé pour réparer le chauffe-eau ne manque pas de lâcher un « On va faire comme Cloclo !  »

Chez Didier, les filles se préparent à sortir. Et si Aurora s’applique à coiffer joliment Marie celle-ci trouve à redire : « je n’aime pas les femmes qui se plaignent » confiera Didier face caméra. Avant de sortir, les filles se voient offrir un chapeau de la part de leur hôte, une attention qui enthousiasme ces dernières, bien décidées à profiter de leur soirée... Marie et Aurora suivent leur hôte dans un restaurant où les attendent amis et famille. Marie semble se rapprocher du frère de Didier, un comportement que ce dernier n’accepte pas. En effet, malgré sa préférence pour Aurora, Didier n’adhère pas à l’attitude de Marie. A la fin de soirée vire aux règlements de comptes : « Ton frère a pris le numéro de Marie  », lance Aurora à Didier. Et si Marie s’en défend, elle confiera plus tard se trouver beaucoup d’affinités avec le fameux frère.

Dans les Vosges, Benoit passe sa dernière soirée avec les filles et veut les présenter à ses amis. Sabrina contrainte d’écourter son séjour pour aller au chevet de sa fille semble en vouloir à Benoit et Géraldine. Exclusive et en recherche permanente de réconfort, Sabrina ne cesse de sonder Benoit sur son ressenti : « Je suis quelqu’un de franc et d’entier et j’ai besoin de dire ce que je pense  », déclare la jeune femme peu encline à laisser quiconque marcher sur ses plates-bandes. Sabrina gardera un goût amer de son séjour. Et sur le chemin de la gare, le trio à bord de la voiture ne dit mot. Après des séparations émues, Benoît tente de positiver : « Elle va vite revenir  », dit-il à propos de Sabrina, dont il espère que l’attitude exclusive se sera calmée d’ici là...

Matthieu invite ses prétendantes au restaurant, un moment durant lequel Christelle remet en cause l’implication de Mathieu. Et suivie par Mélissa, les deux jeunes femmes continuent de blâmer Mathieu qui tente de justifier son attitude par une précédente peine de cœur. « Je ne sais même pas si tu connais le nom de ma ville  » lui lance Mélissa. Mathieu est vexé.

Jean-Claude et ses prétendantes arrivent enfin à leur soirée dancing où les amis de l’agriculteur les accueillent. Une fois à table, Bénédicte part s’allonger dans la voiture car celle-ci souffre d’un mal de dos. Or, si Jean-Claude paraît déçu, dès les premières notes de musique celui-ci file sur la piste de danse accompagné de Maud. Lorsque Bénédicte revient Jean-Claude invite Bénédicte à danser un slow, une invitation déclinée qu’il ne tarde pas à réitérer auprès de Maud. Puis plus tard, Jean-Claude tenace, tente de connaitre les sentiments de Bénédicte, en vain.

Le lendemain de la soirée « reproches » Mathieu en veut à Christelle d’avoir été un peu trop franche, voire dure avec lui. Mais cette soirée aura su porter ses fruits, Mathieu prend la décision de parler avec chacune d’entre elle, bien décidé à faire part à Mélissa de son coup de cœur pour elle. Or, Mélissa, bien qu’intéressée par Mathieu, avoue avoir été refroidie par l’attitude introvertie de l’agriculteur...

Balade à cheval pour Marie, Aurora et Didier. Une promenade écourtée pour cette première qui souhaite rentrer rapidement par peur d’une chute. Une occasion en or pour Didier pour déclarer sa flamme à Aurora : « Voudrais-tu m’accueillir chez toi ?  ». Or, les illusions de l’agriculteur sont réduites à néant lorsqu’Aurora lui avoue ne ressentir « qu’une forte amitié  » envers lui.

Chez Loïc, Marie doit retourner chez elle puisque ses enfants ne supportent pas l’absence de leur maman. De son aventure, Marie ne conservera que « du positif » déclare la jeune femme s’étant liée d’amitié avec Véronique et Loïc. Et ce dernier, malgré sa préférence pour Géraldine, ne peut cacher une émotion certaine suite au départ de son invitée...

Jean-Claude sur sa calèche entame une discussion avec Bénédicte. L’hôte n’aura pas eu la petite flamme. Des sentiments d’amour absents que Bénédicte semblent déplorer au vu de ses larmes... Puis c’est au tour de Maud de monter sur calèche et, toute émue, la femme s’entend dire par son agriculteur qu’elle est celle avec qui il tentera de faire un petit bout de chemin... « C’est l’amour, c’est le coup de foudre » déclare celui qui aura quand même joué les girouettes.

Lors du déjeuner, Mathieu se retire de table pour aller jouer au foot, laissant Mélissa et Christelle avec ses parents et ses sœurs. Une discussion commence alors sur Mathieu mais ce qui a l’air d’avoir le plus interpelé Mélissa, c’est la cohésion familiale de ces derniers. En pleurs la jeune femme évoque son admiration envers cette fratrie unie. À la fin du repas, Aurélie tient, tout de même, à préciser aux jeunes femmes que derrière sa carapace, Mathieu reste un cœur sensible...