L’Amour est dans le pré 6 > Toutes folles de Jean-Claude

À l’heure du déjeuner, Bénédicte et Maud préparent le repas dans la bonne humeur, et alors que Jean-Claude, tout juste rentré du travail n’a plus qu’à se mettre les pieds sous la table. Il n’hésite pas à les taquiner : « C’est normal c’est votre travail ! » Le soir venu, Jean-Claude accueille sa nièce, Rachel, pour dîner, et l’hôte, une fois de plus, écorche le prénom de ses prétendantes ! Aussi, Maud devient Aude ... Malgré ce petit incident pris avec humour par les intéressées, la soirée se passe en toute décontraction et les invitées n’hésitent pas à faire part de leur envie de rester aux côtés de leur agriculteur. Mais le lendemain, Jean-Claude est déçu : ses invitées ne l’ont pas accompagné sur le lieu d’exploitation. Une déconvenue vite oubliée lorsque Bénédicte complimente son hôte sur son hospitalité ! Moment de détente sur les falaises d’Etretat pour le trio. Une sortie que Maud apprécie particulièrement allant même jusqu’à se tremper les pieds dans l’eau, chaussures aux pieds ! Conquise, elle fait part de ses impressions à son acolyte féminin mais ses illusions tournent court lorsqu’elle apprend par Jean-Claude que sa lettre avait été choisie en cas de désistement d’une autre, et que sa préférence, pour l’instant, se porte sur « Béné » finalement hésitante...

Dans le Cher, Raphaël continue de s’imposer auprès de Karine, tandis que relégué au second plan, Flavien, surnommé « sacoche », se fait systématiquement rembarrer par son rival... Le soir venu, Karine invite sa meilleure amie à venir dîner. Un repas au cours duquel Flavien continue de servir de faire-valoir aux « blagues » de Raphael. Même scénario le lendemain. « On sent qu’il y a une rivalité entre les deux », observe Karine avant de faire part de sa préférence pour Raphael. De son côté, Flavien, exaspéré par le comportement du fonctionnaire trentenaire, est des plus résignés : « Jouer les top boys dans une ferme, je suis pas venu pour ça ! »

De son côté, Matthieu fait découvrir son quotidien d’éleveur de vaches à Mélissa et Christelle émues. Mais bien vite, l’intéressé les met à contribution. Et quand deux citadines rencontrent des vaches, les éclats de rires priment sur la qualité du travail. La bonne entente entre les filles se poursuit le soir lors du dîner, face à un Matthieu peu loquace... et maladroit : « Elle est froide » lance-t-il à Mélissa qui vient de préparer une quiche. Dès le lendemain, Matthieu levé aux aurores ramène des viennoiseries à ses convives, stoïques face à cette attention. Après avoir assisté à la naissance d’un veau, les deux jeunes femmes visitent la future maison de Matthieu, encore en ruines. Un endroit qui visiblement séduit Mélissa, tandis que Christelle reste dubitative jusqu’à ce que sa concurrente fasse part de son enthousiasme... Le soir venu, les filles ravies de leur journée sondent tout de même Matthieu sur ses capacités à s’ouvrir et à s’accorder du temps à sa future compagne malgré ses nombreuses activités. Après cette discussion « bénéfique », Matthieu semble enfin enclin à se montrer plus chaleureux.

Loïc fait visiter la ferme à Marie fraîchement arrivée sur l’exploitation. Et après un petit tour du propriétaire, l’agriculteur s’empresse de retourner au travail accompagné de ses deux prétendantes. Tandis que Marie a droit à un cours particulier, Véronique, déjà rompue aux techniques de la traite des vaches, se débrouille seule. Une fois rentré à la maison, Loïc continue de se rapprocher de Marie. Mais dans la soirée, cette dernière qui ne peut se coucher sans avoir fait la vaisselle, ni pris sa douche s’aperçoit avec effroi que Loïc, en plus de se charger de la vaisselle le lendemain, peut aisément rester plusieurs jours sans passer sous la douche. Véronique qui, elle, partage les mêmes idées que Loïc s’en va réconforter une Marie déstabilisée, avant d’aller discuter avec Loïc... Le lendemain, Marie restée à la maison pour faire le ménage, Véronique s’empresse d’aller retrouver l’agriculteur pour traire les vaches. Déçu par l’attitude de Marie, l’hôte qui malgré tout a un petit faible pour elle, s’en rapproche lors d’une visite au Mont Saint-Michel. Mais rétrospectivement Loïc n’arrive pas encore à départager les deux jeunes femmes.

Chez Didier, l’ambiance entre Marie et Aurora est des plus tendues ! Le zèle de Marie commence à agacer Aurora qui sort s’isoler suivie de Didier. Et si chacune semble mal à l’aise dans une configuration de trio, les intéressées ne désespèrent pas d’être celle qui restera auprès de Didier. Le lendemain, une panne de voiture réalimente la concurrence entre les filles désireuses de redémarrer le véhicule... en vain. De retour avec une batterie, Didier emmène Marie et Aurora cueillir des asperges, l’occasion pour lui de partager sa passion avec ses prétendantes. Lors du dîner, Didier brosse le portrait de ses deux convives, pointant du doigt leurs différences car l’intéressé est bien décidé à faire le bon choix : « Je veux quelque chose de solide » déclare-t-il.