L’Amour est dans le pré : ce qui s’est passé pour Norbert et Guylaine

Ils étaient les amoureux de l’été 2009 et formeront à jamais l’un des couples les plus emblématiques de L’Amour est dans le pré. Pourtant, Norbert et Guylaine étaient les grands absents de l’Amour est dans le pré : que sont-ils devenus l’année suivante. En juin 2010, l’agriculteur est sorti de son silence lors d’une interview accordée à Télé Loisirs.

Les parents d’un petit Mathis étaient quelque peu amers. Motif évoqué ? L’argent fait sur leurs dos et la somme de 300 euros, pour l’épandage d’engrais réalisé par un prestataire alors que Norbert était retenu sur le tournage de l’émission, jamais remboursée. De plus, M6 aurait fait miroiter au couple la venue des équipes de D&Co pour terminer la construction de sa maison. En lieu et place, Norbert et Guylaine ont eu droit à un coup de fil de Téva pour relooker une pièce de la demeure via les services de Cendrine Dominguez. « Trop déçus, nous avons refusé !  », expliquait-il.

Dans la dernière édition de Oops, disponible depuis ce vendredi 1er juillet, Marie Genest, productrice, s’exprime enfin sur le sujet. « Nous sommes fâchés. Norbert s’est laissé monter la tête par des gens qui lui ont dit qu’on se faisait de l’argent sur son dos. Du coup, il demandait de l’argent pour faire des interviews. Ce n’est pas correct. Donc les ponts sont coupés. Mais je sais qu’il est heureux, marié et papa, et c’est quand même l’essentiel », explique-t-elle.

Quant à savoir si les nouveaux agriculteurs de l’émission demandent, eux aussi, une rémunération contre un entretien à la presse, Marie Genest infirme. Alors pour quelles raisons certains ne sont pas interrogés par les hebdomadaires télé ? « Ce sont de vrais gens et ils vivent très mal l’intrusion de certains journalistes dans leur vie privée (...) Et puis, ce ne sont pas des candidats de télé-crochet. Ils n’ont pas de rêves de gloire. Une fois le tournage terminé, ils retournent à la « vraie » vie. Une exploitation agricole implique beaucoup de responsabilités », conclut-elle.