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L’Amour est dans le pré : Jean-Michel en pleine période de vache maigre

Tony Cotte
Publié le 16/01/2012 à 19:13

Ce jeudi 19 janvier, soit trois jours après la diffusion de la première soirée de portraits de L’Amour est dans le pré sur M6, NRJ12 proposera un nouveau numéro de Tellement vrai consacré à la recherche de l’âme sœur. Au cours de l’émission, les téléspectateurs de la chaîne de la TNT pourront reconnaitre le candidat Jean-Michel.

Celui qui avait été surnommé « la mascotte » du programme à succès de M6 l’été dernier, revient, à cette occasion, sur sa situation dans Closer. «  En juin dernier, j’ai rencontré une fille via Facebook, qui s’appelle Nathalie. Entre nous, ça a été immédiatement le coup de foudre. Lorsque je suis venu la voir à Paris, nous nous sommes embrassés dès ma sortie du train. J’ai vécu une belle histoire avec elle », se souvient l’agriculteur. Mais « tout est allé trop vite » entre Jean-Michel et sa dulcinée. Citadine de nature, la jeune femme n’aurait pas supporté la vie à la campagne, sans connaître personne et sans permis de conduire. « Aujourd’hui, il est temps pour moi de tourner la page et d’oublier cette histoire », affirme-t-elle.

Si l’interrogé n’a pas de chance en amour, il vit également une situation difficile sur le plan financier et professionnel : « Je suis passé devant le tribunal car je suis dans une situation économique catastrophique. Mais j’ai aussi découvert que j’avais été trahi par mon voisin que j’appréciais beaucoup. Il se trouve que je loue des terrains agricoles à cette personne. Je lui dois 3500 euros de loyer. Sachant que j’ai du mal à boucler mes budgets, je lui ai demandé de bien vouloir patienter pour le paiement. Chose qu’il a accepté de faire. Sauf qu’au final, il a écrit au tribunal disant que je n’avais pas payé ».

Après un appel à la générosité du lecteur de l’hebdomadaire (!!), Jean-Michel ajoute qu’il doit rembourser en réalité 240 000 euros sur huit ans. « Jusqu’ici j’arrivais à rembourser. Mais cette année a été particulièrement difficile  », précise-t-il avant de conclure par une dernière tentative : « Ce sont mes vaches qui m’ont sauvé la vie ! Sans elles, je serais déjà entre quatre planches. (...) Je ne sais pas si je pourrais survivre sans elles... »