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La belle et ses princes presque charmants : un prétendant de Marine se rebelle

Robin Girard-Kromas
Publié le 09/04/2012 à 19:00 Mis à jour le 10/04/2012 à 17:22

Accusée de bidonnage par l’un des anciens participants, La belle et ses princes... presque charmants n’a pas fini de faire parler d’elle. Rudy, un des prétendants de l’émission éliminé mardi dernier, est ainsi revenu sur son expérience sur la radio Espace. Interrogé par Laurent Argelier, le jeune homme s’est révélé lui aussi très critique sur le programme.

Rudy explique ainsi ne pas être « complètement satisfait  » de l’image qui lui a été donnée par la production, indiquant que son tête à tête avec Marine a été coupé au montage. Celui-ci est également très critique sur le processus d’élimination : « Quand on voit que certains candidats souhaitaient quitter l’aventure dès le départ et qu’ils n’ont pas été éliminés...  » s’étonne ainsi le jeune homme, pointant du doigt le cas Sébastien : « Il avait une nana et on l’a tous poussé à se barrer car il nous agaçait avec ses sketchs à deux balles  ». Des propos qui viennent confirmer les récentes déclarations de « bidonnage » du dit Sébastien.

Sur sa participation au show, Rudy estime également avoir été « piégé ». « Je suis tombé sur cette annonce sur internet et à la base je postulais pour un casting : « Vous êtes célibataire, vous avez entre 18 et 35 ans, vous recherchez l’amour, vous n’êtes pas forcément M. Beau gosse avec des muscles mais M. Normal que l’on peut croiser dans le métro ». Je ne me suis pas douté de la supercherie » explique ainsi le prétendant de Marine, amer.

« Personne n’était au courant du concept, donc on se fait un peu passer pour des idiots » poursuit Rudy, pour qui l’émission a été difficile à vivre. « Après mon retour chez moi, j’ai déprimé pendant quelques jours, je me suis barré à l’étranger » affirme-t-il. Toutefois, ce dernier ne reproche rien à la jeune célibataire Marine. «  Je l’apprécie beaucoup. Elle est devenue une super bonne amie. Elle a beaucoup de qualités et la tête sur les épaules. On s’appelle encore, on se voit à l’extérieur » conclue-t-il ainsi.