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Laetitia et Aurélie (Pékin Express 2019) : « Fabrice et Briac nous font le plus peur... »

Andy Andrian
Publié le 25/07/2019 à 19:23

Ce jeudi 25 juillet 2019, M6 dévoile le deuxième numéro de la saison 12 de Pekin Express. Le binôme formé par Laetitia et Aurélie se confie sur leur aventure. Une occasion de revenir sur les difficultés rencontrées durant l’émission et de dresser un bilan de leur participation.

Andy Andrian : Pourquoi avez-vous choisi participer à l’aventure Pékin Express ?

Laetitia : Pour fuir la maison (en riant) !

Aurélie : À la base, je ne suis pas une grande compétitrice. Je n’avais jamais regardé Pékin Express. Ma sœur a, quant à elle, beaucoup suivi l’émission. Il y a toujours une de nous deux qui était occupée, mais on a réussi à se libérer. Elle m’a alors proposé sur un coup de tête de participer.

Avez-vous eu des appréhensions quant au bon déroulement de l’aventure ?

Laetitia  : Je suis quelqu’un d’assez compétitrice même si je ne suis pas non plus une grande sportive. C’était le cas quand j’étais plus jeune, mais c’est devenu difficile avec le travail. Je me suis dit que l’émission était l’occasion idéale de remettre le pied à l’étrier. J’avais une grande confiance en moi, mais une fois sur place, c’est autre chose avec un grand moment de solitude.

Le programme vous décrit comme deux sœurs que tout oppose, comment avez-vous tiré profit de vos différences ?

Laetitia  : Pendant les premiers jours c’était difficile, notamment avec l’épisode du Paddle. On s’est rendu compte de notre retard sur les autres concurrents et que nos conflits nous pénalisaient. Il fallait alors faire des efforts. Je devais plus écouter Aurélie, qui était plus posée et réfléchie, le tout pour que ça fonctionne sinon on allait au K.O.

Quelle est la recette pour résoudre rapidement un conflit en pleine course ?

Aurélie  : Il n’y pas vraiment de recette. Dans notre quotidien c’est pareil. Il peut arriver qu’on s’engueule violemment, mais après ça passe aussi vite que c’est arrivé. Au final, on sait qu’on est sœurs et qu’on est obligées de se supporter. D’ailleurs, c’est pour cela qu’on s’est lancées ensemble dans l’aventure. Si on se retrouve dans la difficulté et qu’il y a une dispute, je sais que trois minutes plus tard on rigolera de quelque chose toutes les deux. Le conflit ne dure pas. Même si j’avais envie de la noyer au fond du lac (rires).

Quel duo avez-vous le plus redouté ?

Fabrice et Briac étaient forts et complémentaires en même temps. Il est vrai que c’était le binôme qui nous faisait le plus peur. Également, Thomas et Mathieu se présentaient comme de solides concurrents étant donné leurs qualités physiques et logiques.

« Je devais plus écouter Aurélie (…) sinon on allait au K.O. »

Dans le numéro de ce jeudi 25 juillet 2019, le public peut vous voir utiliser le téléphone express. Comment ce nouvel outil a-t-il influencé votre aventure ?

Aurélie  : Au début, c’était très dur de me séparer de mon mari et de mes fils. Le téléphone Express m’a reboosté et m’a fait du bien. J’en avais vraiment besoin personnellement, surtout que durant l’aventure on est dans notre bulle. Techniquement, le GPS nous a vraiment servies en nous permettant d’aller dans la bonne direction. Enfin, on a eu l’occasion de faire plusieurs selfies en souvenir.

Également, vous découvrez qu’une équipe cachée, Patrice et Benjamin, est présente. À ce moment, votre but principal était-il de la démasquer ou de finir à la meilleure position possible ?

On était dégoûtées. On voulait absolument les trouver parce que si on y parvenait, ça voulait dire pas de duel final. C’était une bataille où tout le monde avait les dents longues. Cette année, toutes les équipes étaient très compétitrices.

Que retenez-vous de votre étape à Flores, près des cités Mayas ?

On a surtout retenu notre rencontre mémorable avec une énorme mygale (rires). Plus sérieusement, Flores est une ville magnifique. On a été reçues chez des hôtes remplis de sympathie. On avait bien mangé et on y a passé une très bonne soirée.

Quelle a été votre réaction en découvrant les images devant votre écran ?

On a regretté d’être naturelles. On a vite oublié les caméras. On a joué sans filtres et d’ailleurs les proches qui regardent l’émission nous confirment avoir reconnu notre vraie personnalité. Par exemple, la séquence du Paddle nous a beaucoup fait rire même si sur le moment ça n’avait rien de drôle, surtout qu’en tant que spectateurs, on ne se rend pas compte des éléments extérieurs tels que la chaleur ou la déshydratation. Généralement, on est contente de se voir à l’image, car on y est authentique.

Quel bilan tirez-vous de votre participation à Pékin Express ?

Aurélie  : Personnellement, je ne me pensais pas capable d’accomplir une telle aventure. Il est vrai que je ne possède pas le profil type d’une aventurière, c’est même l’inverse. Comme quoi, lorsque nous sommes lancées, il est possible de se surpasser. Ensemble, on a réussi à s’entendre à un point qu’on n’attendait pas.