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Les Anges de la télé-réalité : « Mickaël Vendetta doit se faire soigner ! »

Robin Girard-Kromas
Publié le 07/11/2011 à 18:59

Interrogé dans les colonnes de l’hebdomadaire Public, le parrain des Anges de la télé-réalité, Fabrice Sopoglian, est revenu sur les propos tenus par Mickael Vendetta sur son compte Facebook, où l’inventeur de la bogossitude l’a accusé d’être un « mytho incapable de décrocher des contrats pour les candidats de l’émission ».

Selon le professionnel, si Mickael est si amer, c’est parce qu’il n’a «  aucun talent à part celui d’aboyer  » : «  En rentrant en France, il a du s’apercevoir qu’il avait fait de la figuration et qu’il était le seul pour qui rien ne s’était passé professionnellement ».

Le producteur de films revient sur cette troisième saison des Anges et explique que le candidat n’a pas été facile à gérer sur le tournage. « Il n’a fait aucun effort. Il ne voulait pas participer au clip avec Keenan Cahill, ni sortir de sa chambre pour saluer Clara Morgane » confie Fabrice, affirmant même avoir souhaité que le candidat « fasse un faux pas pour le renvoyer en France ».

Le parrain des Anges ne mâche pas ses mots contre le jeune homme : «  Il est tellement prévisible et si peu intelligent (...). Il faut savoir qu’il a honte de sa vie et ça le rend sans doute aigri. Il habite chez ses parents, et dans sa chambre, il n’y a que des posters de lui ».

Quant au couple avec Annaëlle, Fabrice n’est pas étonné. «  Ils se sont bien trouvés tous les deux. Ils ont accepté de participer au programme en pensant déjà aux retombées médiatiques et financières (...). Ils refusent toutes les interviews non rémunérés et ne veulent même pas venir sur le plateau de Matthieu Delormeau » affirme-t-il. Dans tous les cas, pour le parrain des Anges, « il faut qu’il [Mickaël Vendetta] se soigne ».

Souhaitant la version du principal intéressé, le magazine s’est trouvé dépourvu du moindre commentaire, Mickael Vendetta souhaitant vendre sa réponse. «  Je pourrais le massacrer, mais tout ça génère beaucoup de frais derrière, presque 6000 euros d’avocat, et je ne voudrais pas me retrouver avec un procès au c*l !  », a-t-il ainsi élégamment expliqué à l’hebdomadaire.