Panique dans l’oreillette > Christine Bravo et Gérard Klein
Frédéric Lopez sur France 2
Panique dans l’oreillette continue de former des binômes improbables. Après Sophie Davant et Titoff ou encore Stéphane Bern et Ophélie Winter, c’est au tour de Christine Bravo et Gérard Klein de prendre place sur les deux fauteuils blancs de Frédéric Lopez.
Celle qui était il y a quelques jours aux commandes d’un divertissement sur TF1 est « une foldingue assumée » à en croire Laurent Ruquier, complice caché dans la bulle insonorisée. Le ton est ainsi donné. Christine adore la provoc, petite déjà c’était une vraie peste et une adolescence rebelle. Le jour de ses 18 ans, elle claque la porte de chez ses parents et, se retrouve un an plus tard sur les
bancs de la fac d’histoire avec son fils tout juste né. Elle aura ensuite tout fait : femme de ménage, vendeuse de bas chez Tati, institutrice ou encore journaliste.
Rapidement, les téléspectateurs découvrent des points communs entre les deux invités. Christine Bravo et Gérard Klein ont ainsi été animateurs radio et partagent la même idée sur la télé : « C’est le bal des faux culs » !
L’instit de tous les français vit son enfance dans la Marne. Il grandit parmi les animaux, il rêvait déjà de devenir paysan. Ado rebelle, ses amis, comme Patrick Bordier et Samuel Rogers, présents dans la bulle, se rappellent qu’il était le chef de bande. Bon élève qui manque cruellement de discipline, Gérard Klein part faire son service militaire et rêve de devenir médecin... Mais sa passion pour la radio l’emporte. Il devient une star radiophonique en 67 avec les « 400 coups » comme le confirme Hugues Auffray, autre complice de la soirée.
De retour à Christine Bravo, la journaliste revient sur sa chronique quotidienne dans Libération en 1981 qui la fera connaître du milieu, puis sur Frou-Frou, son premier succès télévisuel en 1992. Par le biais de l’émission, l’intéressée avoue avoir « réalisé tous [ses] fantasmes » en invitant tous les hommes dont elle rêvait.
En amour, Gérard Klein est, quant à lui, un fonceur. Il rencontre Françoise, sa femme sur un marché et lui dit direct « On va vivre ensemble ». Résultat : 30 ans de vie commune !