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Pékin Express : Denis & César, le duo comique aidé par la prod

Claire Varin
Publié le 23/05/2011 à 17:24 Mis à jour le 23/05/2011 à 22:41

Pour cette saison 7 de Pékin Express , la production a créé un binôme atypique en unissant Denis et César. Les deux personnages s’opposent pour finalement apporter une touche comique à cette aventure de l’extrême sur le continent africain.

Denis, 54 ans, et César, 48 ans, forment une équipe décalée, comme si l’on avait associé Claude François et Mister T. Et alors qu’ils ne se connaissaient pas avant de participer à Pékin Express, les deux hommes ont tissé des liens forts, comme ils l’ont confié dans TéléStar : « Dès le début, j’ai dit à Denis qu’il était ma famille. Malgré son stress qui m’a épuisé, c’est un homme qui ne baisse pas les bras », déclare César. Puis, Denis ajoute : « On s’appelle deux fois par semaine. »

De cette expérience, ils retiennent la difficulté des nuits. « Je croyais que la prod restait avec nous, mais non ! Ils nous ont laissés tout seuls en pleine montagne ! » raconte Denis. Mais apparemment, ils n’ont pas toujours été abandonnés. En effet, Denis dévoile les dessous de sa nuit passée dans la réserve animalière : « Quand la balise a sonné, on nous a dit que nous ne resterions pas sur place et, trois heures après, on nous a rapatriés dans un camp sécurisé. Sans confort, sans du tout ! On ne l’a pas trouvé nous-mêmes, c’est la prod qui s’en est chargée. Le lendemain, on nous a replacés à l’endroit où la balise avait sonné ! »

Le duo revient également sur leur rencontre : « J’avais tout imaginé sauf quelqu’un comme César ! » se souvient Denis. « Je ne sais pas si j’aurais sympathisé avec lui ailleurs, mais j’étais bien content de tomber sur un costaud ! » Le Vosgien reconnait que le plus populaire des deux, c’est César. Mais il souligne « s’il n’était pas tombé avec, ça n’aurait pas donné le même personnage. » De son côté, César est fatigué de cette notoriété, « Je suis videur dans une boîte de nuit : tout le monde me parle de Pékin Express ! Au départ, j’étais flatté, mais là c’est un peu le calvaire. »