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Plus belle la vie (spoiler) : Léa kidnappée, Jeanne et Emilie entre la vie et la mort, semaine toxique sur France 3

Joshua Daguenet
Par
Rédacteur TV & Séries
Publié le 14/03/2020 à 13:24

La semaine de Plus belle la vie se déroulant du 16 au 20 mars va particulièrement impacter les Mistraliennes. Plusieurs d’entre elles risquent de passer de vie à trépas.

Alors que le Monde n’est plus focalisé que sur le Coronavirus, devenu l’ennemi public numéro 1, Plus belle la vie a entamé une intrigue farouchement identique puisque l’hôpital Marseille-Est a été infecté par une épidémie provenant - à priori de Chine - et nommée également « Coronavirus » dès l’épisode diffusé le jeudi 12 mars sur France 3.

Le virus fait régner la Terreur. Les proches, extérieurs au drame se déroulant dans l’hôpital, demeurent dans l’inquiétude. Babeth et Léa, en charge de soigner les malades, tentent vainement de rassurer Patrick qui fait front avec sa belle-mère Yolande. La fille de Babeth et Jean-François va vivre une semaine infernale, de nature à rivaliser avec l’effondrement du gymnase durant lequel elle était restée bloquée sous les décombres.

Jeanne se condamne

En effet, après une ruse perpétrée par Alexandra, Léa est prise en otage par cette dernière, profitant de la naïveté criante de Kévin qui s’est laissé attendrir par la patiente. Ainsi, elle se retrouve menottée à la fugitive qui parvient à manipuler un individu pour se libérer des chaînes. Léa a la vie sauve et peut regagner l’hôpital face à un personnel dépassé par l’épidémie. Les malheurs ne s’arrêtent pas là pour la jumelle d’Emilie, laquelle tombe dans le coma, infectée elle aussi par le virus. Si elle se réveille, Léa informe sa mère que l’ex de Kévin peut conserver des séquelles à vie.

Autre femme en grand danger : Jeanne. Celle qui s’est sacrifiée pour rejoindre Mila est punie de son imprudence. La directrice de l’hôpital s’écroule alors qu’elle avait étreint sa fille adoptive en retirant même sa combinaison. Au commissariat, Patrick va perdre ses nerfs face au remplaçant de Jeanne qui montre bien peu d’affect, bien plus intéressé par les dépenses que par les vies humaines.