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Plus belle la vie (spoiler) : Manu Mongaut torturé, Ariane réclame vengeance et terrorise Boher

Joshua Daguenet
Par
Rédacteur TV & Séries
Publié le 06/11/2019 à 14:35

Diffusé en inédit le mardi 5 novembre, le feuilleton Plus belle la vie a rassemblé 3.37 millions de Français et 14.2% d’entre eux présents devant le petit écran. Dans les prochains jours, l’agression d’Estelle et l’accusation de viol visant Manu Mongaut vont être suivies de réactions verbales et physiques très acides.

Les violences faites aux femmes reviennent au premier plan dans le feuilleton qui s’était déjà attaqué à ce fléau à travers l’association Samia / Hélène, quand cette dernière avait fini par tuer son mari après des années de violences conjugales. Plus récemment, Estelle avait revécu un traumatisme longtemps enfoui, celui survenu il y a quelques années quand elle avait été le témoin d’un viol collectif. Ce coup-ci, c’est elle qui s’est retrouvée dans cette situation puisque deux hommes ont tenté d’abuser d’elle - en plein jour et sur un terrain de football ! -. Quant à Manu Mongaut, présenté comme le meilleur buteur de Ligue 1, n’en déplaise aux Ben Yedder et Mbappé, il va être au cœur d’une vendetta.

Ariane s’assombrit

Une personne masquée l’appréhende alors qu’il s’apprêtait à regagner son véhicule. Son assaillant le place dans le coffre de la voiture, le ligote et le bâillonne. Tout en bas du dos, Manu se fait inscrire « Porc » au fer rouge. Il hurle de douleur. Cette scène n’est pas sans rappeler celle du film Millénium : l’homme qui n’aimait pas les femmes quand Lisbeth Salander se venge de son violeur en lui imposant une sentence similaire sur un tatouage.

Quant à Ariane, elle semble également assoiffée de vengeance. Très concernée par le drame vécu par Hélène l’année dernière, elle prend particulièrement à cœur les violences que subissent les femmes. Ainsi, quand l’un des agresseurs d’Estelle est libéré, elle se montre écœurée. Face à Boher, son visage se durcit et elle lui dit : « C’est toujours les femmes les victimes. Il est temps que la peur change de camp ». Le lieutenant, pas rassuré parce qu’il vient d’entendre, réplique qu’elle ne changera jamais.